Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
« Je donnerais tous les jours qui me restent à vivre, pour retrouver, rien qu'une seconde, cette joie entière, ce sentiment d'harmonie que je connaissais dans la maison sans homme, où j'avais appris à vivre. » I.S.
Aux premières pages d'un livre de vie, le souvenir des bonheurs premiers, simples, évidents comme la jouissance, réels comme ces parfums de glycine, de phlox, de seringas, de roses pourpres, dans la chaude torpeur de l'été, dans la fraîcheur des chambres aux volets clos, « miroitantes, enrichies d'un fouillis de bibelots », bonheurs rêvés peut-être et toujours déjà-là.
Trois femmes, « cotonnade, tulle, voile, blanches, lilas, vert pâle, rose pâle, et des chapeaux de paille rousse, qui battent au-dessus de leurs yeux comme des ailes », et trois petites filles, Emma, Anna et Virginia, et je narratrice « regardent leurs mères ». Le temps a passé, dorant les couleurs douces de ce bonheur, aujourd'hui perdu, et les petites filles devenues femmes à leur tour se souviennent.
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