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Après avoir sélectionné 30 romans, le jury du Prix Orange du Livre s’est réuni pour retenir cinq finalistes. On vous entraine dans les coulisses de leurs discussions passionnées. Autour de Erik Orsenna, les auteurs Vincent Message, Laurence...
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Prix Orange du Livre 2017 : lecture des cinq romans finalistes
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Je fais partie de ces lecteurs qui aiment la plume élégante et intimiste de Philippe Besson avec ses phrases courtes qui vont à l'essentiel.
J'aime ce parfum de nostalgie, d'introspection sur l'enfance qui a du mal à s'éloigner, sur les méandres de la vie d'adulte qu'on commence à apercevoir et sur ces moments qu'on tente en vain d'oublier et qui vous construisent malgré tout.
J'aime les romans mélancoliques et émouvants.
Alors, j'ai aimé "un soir d'été".
Une petite déception pour moi que ce dernier livre de Philippe Besson, même si cela reste une lecture que j'ai appréciée. Peut-être en avais-je lu trop de retours élogieux, peut-être était-ce difficile de lire un autre livre de cet auteur après Ceci n'est pas un fait divers qui m'avait laissée KO debout.
J'ai aimé l'ambiance qui règne dans ce roman, la description de cet été qui marque la fin de l'adolescence pour ce groupe de jeunes, cet été qui se termine mal. J'y ai retrouvé ce que j'ai moi même vécu, étant de la même génération que l'auteur, ces moments d'insouciance, ces moments où le temps s'arrête, où rien ne presse. J'ai revécu avec lui ces étés qui semblent immenses au moment où ils commencent, où la plage est le lieu du farniente, des baignades, mais aussi de la découverte de corps libres des contraintes vestimentaires du reste de l'année. Mais surtout J'ai aimé la description de leurs relations, entre eux d'abord, puis avec les adultes, plus tolérants, plus aptes à cette période à accorder des permissions, ou encore avec cette petite fille trop jeune pour faire partie de la bande, mais qui guette dans l'ombre, comprend beaucoup, sans que personne ne lui explique et prononce des réflexions surprenantes.
Mais j'ai été déçue par la plume, que j'ai trouvé moins percutante que souvent. Je n'ai pas aimé ces réflexions entre parenthèses qui pour moi alourdissent le texte et coupent la fluidité de la lecture. Une écriture que j'ai trouvée un peu plate, plus descriptive que attachée à nous faire partager les sentiments, et qui a peiné à me faire ressentir ce que vivent ces jeunes gens.
Ceci n'est que mon avis, et la plupart sont beaucoup plus enthousiastes.
Merci à NetGalley et aux éditions Julliard pour cet envoi #Unsoirdété #NetGalleyFrance
Ce livre est un livre choc. L'auteur aborde les violences conjugales à travers les victimes silencieuses que sont les enfants. L'auteur ne fais pas de détours, il aborde le sujet sans fioriture ce qui rend le roman encore plus poignant. C'est vraiment un livre que je recommande.
Le roman se passe à Los Angeles, le jour de la première élection de Barack Obama. Une journée pour faire le point, pour peut-être tout changer.
Car finalement, y a t-il une bonne raison de ne plus vouloir vivre ? Perdre un enfant, drame indicible et inconcevable ? Avoir une vie insipide, solitaire et sans but ? C’est la question que pose Philippe Besson dans ce roman sensible et introspectif, lui qui sait si bien se mettre à la place de ses personnages, les incarner grâce à une profusion de petits détails qui leur donne vie, les rendant si proches et humains.
« Ce sont les détails qui causent les plus grandes violences. »
J’ai aimé retrouver la plume de Philippe Besson, la douceur et la mélancolie de sa prose, mais ce n’est hélas pas allé plus loin. J’ai manqué ce rendez-vous avec l’auteur, tout comme le rendez-vous entre Laura et Samuel, une confrontation que l’on attend avec impatience tout au long du roman et dont rien ne sort.
Je ne peux néanmoins que saluer l’auteur qui n’a pas peur d’aborder des sujets sensibles dans l’ensemble de ses romans, sujets de société comme le suicide ou le féminicide, ou questionnant le destin.
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