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Traverser les montagnes, et venir naître ici

Couverture du livre « Traverser les montagnes, et venir naître ici » de Marie Pavlenko aux éditions Les Escales
Résumé:

Un roman poignant et lumineux qui raconte le deuil, la solidarité et l'espoir.
Astrid a tout perdu. À quarante ans, plus rien ne la retient, alors elle part. Elle achète sans l'avoir visitée une maison isolée dans la région montagneuse et sauvage du Mercantour. Parmi ses bagages, un carton... Voir plus

Un roman poignant et lumineux qui raconte le deuil, la solidarité et l'espoir.
Astrid a tout perdu. À quarante ans, plus rien ne la retient, alors elle part. Elle achète sans l'avoir visitée une maison isolée dans la région montagneuse et sauvage du Mercantour. Parmi ses bagages, un carton marqué d'une croix rouge, ce qu'il lui reste de sa vie passée.

Soraya a tout laissé derrière elle. Sa Syrie natale, sa famille, ses amis, son insouciance. Elle traverse la montagne pour rejoindre la frontière française en se cachant de la police. Dans son ventre, une vie qu'elle déteste grandit.

Deux destins de femmes inoubliables. Deux douleurs indicibles qui se rencontrent et s'apprivoisent.

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Avis (7)

  • J’avais hâte de lire ce roman dont j’avais eu de très bons échos. Pour commencer, je trouve le titre magnifique. Traverser les montagnes, et venir naître ici, pour le bébé qui a décidé de venir au monde entre les roches escarpées, pour la résilience de femmes meurtries dont le destin...
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    J’avais hâte de lire ce roman dont j’avais eu de très bons échos. Pour commencer, je trouve le titre magnifique. Traverser les montagnes, et venir naître ici, pour le bébé qui a décidé de venir au monde entre les roches escarpées, pour la résilience de femmes meurtries dont le destin s’entremêle. C’est beau, c’est merveilleusement bien approprié pour cette histoire marquante, difficile mais également pleine d’espoir.

    Nous débutons avec le personnage d’Astrid qui a tout perdu et qui quitte tout. L’écriture est saccadée, aussi hachée qu’est la vie de cette femme brisée. Je n’adhère pas tout de suite au style, mais l’autrice s’adapte au personnage, à son ressenti, à sa colère, à sa peine. Je poursuis parce que je sens que le récit va m’attraper et qu’on ne pourra plus se lâcher. Puis vient Soraya, jeune femme syrienne enceinte qui a vécu le pire. La guerre, la poussière, les corps décharnés, les détonations, la fuite et une route semée d’obstacles détestables. L’écriture est différente, plus fluide mais emplie d’un but à atteindre. Enfin, vous vous en doutez, vient la rencontre de ces deux âmes déchirées. Les débuts sont compliqués, il y a la barrière de la langue, un peu, la confiance qui s’est faite la malle, la douleur qui prend le dessus sur tout le reste, et les mots qui restent coincés dans la gorge parce qu’on a plus envie de les vomir que de les dire, beaucoup.

    Au fil des chapitres, les paroles se délient, la poésie prend sa place et notre cœur. On s’attache à Astrid, à Soraya, et les larmes arrivent au bord de nos yeux, soudainement, puis rebroussent chemin parce que la montagne, ses couleurs, ses paysages que l’on imagine tout à fait, les flocons de neige, les rencontres, l’apprivoisement des Hommes et de la nature nous émerveillent et nous baignent d’espérance. Tout est fragile mais le lien ne casse pas. Nous sommes souvent sur un fil et nous le maintenons fort. On espère, tout le temps.

    Les choses s’accélèrent, le cœur bat puissamment, et le dénouement nous ballote entre deux sentiments. Mais puisque notre cerveau nous protège, nous ne gardons que le beau, sans pour autant oublier le reste.

    Le récit nous enveloppe encore un long moment après avoir refermé le livre. On se dit que la lecture est belle et dure à la fois, on se dit que c’est ce que vivent de nombreuses personnes sur cette Terre. On se sent impuissants, on enrage, mais on sait qu’un peu partout, il y a de l’espoir et des rires, au milieu du fracas.

    Sur mon blog : https://ducalmelucette.wordpress.com/2024/10/19/lecture-traverser-les-montagnes-et-venir-naitre-ici-de-marie-pavlenko/

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  • C’est l’histoire de deux femmes qui n’auraient jamais dû se rencontrer.
Il y a Astrid. A quarante ans elle vient de tout quitter pour s’installer dans cette vallée encaissée du Mercantour, après le plus terrible des deuils. Solitaire, elle fuit les contacts, réticente à toute confidence, mais...
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    C’est l’histoire de deux femmes qui n’auraient jamais dû se rencontrer.
Il y a Astrid. A quarante ans elle vient de tout quitter pour s’installer dans cette vallée encaissée du Mercantour, après le plus terrible des deuils. Solitaire, elle fuit les contacts, réticente à toute confidence, mais avec délicatesse, Ida, sa proche voisine parvient à ébaucher avec elle des liens d’amitié.
Il y a Soraya. A 17 ans elle a connu l’enfer depuis son départ de Syrie. Séparée de sa famille, affamée, dépouillée, violentée, elle marche depuis des mois pour rejoindre la France, terre promise pour cette famille de lettrés. Mais il lui reste à franchir les Alpes, dans le froid, dans la neige, au péril de sa vie.
Deux femmes, deux détresses, deux solitudes qui vont s’unir pour entrevoir la lumière.
.
Les thèmes de ce roman sont graves puisqu’il parle de deuil, d’exil et de souffrance. Et pourtant le premier sentiment qui me vient pour en parler est celui d’une grande douceur. Une douceur née de la rencontre de ces deux destins brisés, si dissemblables et pourtant si proches. Une douceur née de la compréhension mutuelle de ces âmes broyées qui en cheminant côte à côte dans un respect mutuel vont aller vers l’apaisement. Au-delà de la langue, au-delà de l’âge, au-delà de la culture, elles vont peu à peu abattre les montagnes qui enserrent leur cœur, s’ouvrir l’une à l’autre, combattre leurs peines et tenter de renaître. Il est long et compliqué ce chemin de la résilience, mais j’ai pris un immense plaisir à le faire avec elles. Je découvre cette autrice avec ce texte et j’ai été charmée par la délicatesse de sa plume. Il aurait été facile avec un tel sujet de tomber dans le larmoyant, il n’en est rien. Et la construction, qui dévoile habilement les passés respectifs de ces deux femmes est remarquable de justesse.
Je terminerai en insistant sur le pouvoir de la littérature. Je pense qu’un livre tel que celui-ci peut faire évoluer les esprits sur le drame des migrants. Dans le climat de haine qui traverse notre pays, sa lecture est salutaire voire même nécessaire.
A lire absolument !

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  • Astrid a tout perdu, son mari, ses enfants de manière brutale, alors plus rien ne la retient, elle vend sa maison pour en acheter une autre, dans une région montagneuse, sauvage : le Mercantour. Ce choix est dicté par le fait que son époux aimé randonner en montagne pour se ressourcer. Elle...
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    Astrid a tout perdu, son mari, ses enfants de manière brutale, alors plus rien ne la retient, elle vend sa maison pour en acheter une autre, dans une région montagneuse, sauvage : le Mercantour. Ce choix est dicté par le fait que son époux aimé randonner en montagne pour se ressourcer. Elle achète au passage la vieille voiture de l’ancien propriétaire. Une nouvelle vie commence : s’habituer au froid, à la neige, adapter sa garde-robe, se déplacer avec les raquettes…

    De son côté, une jeune fille Soraya, a fui les guerres en Syrie qui a décimé sa maison une partie de sa famille. Après avoir parcouru plusieurs pays Roumanie, Albanie, Croatie, Italie, elle tente de traverser la frontière via la montagne, en compagnie de sa tante Ibtissam sous la neige, guidée par son téléphone qui rend l’âme. Elle tombe d’épuisement se laissant mourir, mais son chemin croise celui d’Astrid qui fait une promenade en raquette…

    Marie Pavlenko nous dresse un portrait croisé, deux femmes cabossées, sinon brisées après avoir vécu une tragédie qui tentent d’avancer coûte que coûte. Astrid a perdu ses proches, alors que Soraya, qui vivait heureuse avec sa famille en Syrie, voit son existence balayée par la guerre et l’exil. Elle nous raconte toute la violence de l’exil, la violence des passeurs qui exploite la situation, la faim, le froid et surtout le viol dont Soraya a été victime en Albanie.

    Elle se retrouve enceinte pour traverser les Alpes d’un bébé dont elle ne veut rien entendre et qu’elle ne pourra appeler autrement que « la chose », après un accouchement chez Astrid. La vie est tellement lourde à porter pour une jeune fille de dix-sept ans…

    L’auteure aborde différents thèmes : le deuil, l’exil, la famille, la capacité de résilience, les deux héroïnes s’apprivoisant peu à peu, chacune ayant sa manière de réagir à la souffrance.

    Tous les personnages sont intéressants, car on fait la connaissance d’Ida, la voisine d’Astrid, céramiste de son état, toujours là pour aider, tant physiquement pour aller faire les courses (lait, biberons, couffin, vêtements…). L’auteure aborde, sans pathos, ceux qui aident, comme Max, traducteur pour une association d’aide pour obtenir des papiers, et écouter, partager les émotions de Soraya, mais aussi les salauds, comme le voisin Ange, qui surveille tout avec ses jumelles, entre chez les gens sans frapper, pose des questions comme gestapiste…

    Marie Pavlenko a choisi un mode de narration qui rend le récit encore plus vivant, avec des flashes dans le passé, pour Astrid comme pour Soraya, des phrases ou des situations qui remontent à propos et elle émaille son récit de poèmes : Andrée Chedid, Omar Khayyam, que j’aime énormément, ce n’est un secret pour personne, et Claude Roy, Agota Kristof, Marina Tsvétaïeva que je vais essayer de découvrir et comme l’auteure donne les références des œuvres…

    J’ai beaucoup eu un coup de cœur pour ce roman, son écriture, le destin croisé de ces deux femmes, car le récit aurait pu tomber dans le sentimentalisme et ce n’est pas le cas. Je me suis rendue compte que l’auteure, que je ne connaissais pas, en fait, avait écrit des romans pour la jeunesse

    Un grand merci à NetGalley et aux éditions Les Escales qui m’ont permis de découvrir ce roman et la plume de son auteure.

    #Traverserlesmontagnesetvenirnaîtreici #NetGalleyFrance !


    https://leslivresdeve.wordpress.com/2024/09/20/traverser-les-montagnes-et-venir-naitre-ici-de-marie-pavlenko/

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  • Astrid a tout perdu et n’a qu’un désir : partir. Dans une région inconnue. Peu importe le confort, pourvu qu’elle soit loin de tout en terre inconnue ; la résilience se fera au sein du Mercantour dans une maison qu’elle n’a même pas visitée. Affronter la rudesse des hivers, la rusticité de...
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    Astrid a tout perdu et n’a qu’un désir : partir. Dans une région inconnue. Peu importe le confort, pourvu qu’elle soit loin de tout en terre inconnue ; la résilience se fera au sein du Mercantour dans une maison qu’elle n’a même pas visitée. Affronter la rudesse des hivers, la rusticité de l’habitat, lui offrira peut-être une parenthèse dans la douleur de la perte de ses êtres chers. Ce qu’elle ne pouvait imaginer c’est qu’elle va recueillir dans la neige, lors d’une de ses sorties en solitaire dans la montagne, une jeune femme syrienne se cachant de la police des frontières avec une vie non désirée dans son ventre.

    Elle trouvera la bienveillance d’une voisine – potière dans ses heures perdues – et une attitude narquoise d’un voisin bien trop curieux. L’enfant va naître entre ces deux femmes perdues mais tout ne se passe pas comme prévu. À Astrid de prendre en main cette force du destin qu’elle a rencontrée sur son chemin.

    Le titre est déjà un roman, le roman l’est beaucoup plus. Une fresque quasi pastorale au milieu de la montagne – la vraie, pas celle de cartes postales – qui se cogne à la tragédie de l’exil et des drames de la vie. Un parallèle excessivement bien construit – même si à force le lecteur peut perdre un peu la notion du temps – et créatif par la forme.

    Le lecteur se trouve happé par ce récit authentique, pétri d'humanité, beau et tragique, traçant deux superbes portraits de femme et décrivant avec précision la douleur de la fuite – ou de la perte – le courage qu’il faut avoir pour résister aux avaries de la vie et le contraste des âmes humaines entre l’aide humanitaire et la dénonciation. Un livre qui était nécessaire.

    Blog Le domaine de Squirelito ==> https://squirelito.blogspot.com/2024/08/noisette-dexil-traverser-les-montagnes.html

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  • L’ombre qui pèse sur Astrid, les fantômes qui l’entraînent vers un isolement volontaire, loin de la ville, dans un univers de montagne qu’elle découvre, on les découvrira peu à peu.

    Pour Soraya, en revanche, on suit pas à pas son parcours fait de pertes et de drames, de terreur perpétuelle....
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    L’ombre qui pèse sur Astrid, les fantômes qui l’entraînent vers un isolement volontaire, loin de la ville, dans un univers de montagne qu’elle découvre, on les découvrira peu à peu.

    Pour Soraya, en revanche, on suit pas à pas son parcours fait de pertes et de drames, de terreur perpétuelle. L’enfant qu’elle porte en elle en est le témoin.

    Les mots confiés sont souvent moins révélateurs que les regards, d’autant que la langue est ici une barrière, comme une punition de plus.

    L’enfant qui naît, la « chose » que Soraya refuse de nommer, sera t-elle une issue au chagrin d’Astrid ?

    On s’attache sans délai à ces deux femmes qui ont subi ce que la vie peut réserver de pire. Les personnages secondaires apportent la lumière qui leur manque. Ida, la voisine accueillante et Matthieu l’interprète prêt à tout donner pour éviter à Soraya l’expulsion, tout en tentant de préserver Astrid, qui risque elle aussi des ennuis pour avoir porté secours à une adolescente en danger de mort !

    La logique protectionniste ne tient pas lorsque la notion de migrant s’incarne dans des êtres humains qui attendaient tout du pays des lumières. Tristes lueurs blafardes, à présent.

    Roman poignant, qui ne révèle rien de nouveau, l’actualité n’est pas avare de brèves qui commentent rapidement le chavirement d’une embarcation de fortune, en petits caractères sous les titres massifs de médailles conquises. Un très beau récit, nécessaire autant qu’émouvant.



    Merci aux éditions Les Escales pour l’envoi de ce service de presse numérique via NetGalley France. Cette chronique n’engage que moi.



    352 pages Les escales 22 août 2024
    #Traverserlesmontagnesetvenirnaîtreici #NetGalleyFrance

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  • Marie Pavlenko signe un très beau roman à paraître au mois d'août aux Éditions Les Escales : un récit engagé qui fait la part belle aux femmes, à la force incommensurable de la sororité et à la puissance de leurs actions lorsqu'elles se retrouvent et s'allient.
    J'ai adoré ce roman dans l'air du...
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    Marie Pavlenko signe un très beau roman à paraître au mois d'août aux Éditions Les Escales : un récit engagé qui fait la part belle aux femmes, à la force incommensurable de la sororité et à la puissance de leurs actions lorsqu'elles se retrouvent et s'allient.
    J'ai adoré ce roman dans l'air du temps et surtout parce que malgré les thèmes difficiles (la perte, le deuil, la violence, le harcèlement sexuel, la clandestinité…), il offre aussi beaucoup d'espoir à toutes les femmes, à toutes les victimes et à tous les réfugiés déplacés ou meurtris par la violence de notre monde.
    Sous la patine de fragilité et des sentiments tus mais non moins exacerbés, ces femmes si différentes, dont les histoires entrent pourtant en résonance, trouvent ensemble les ressources pour affronter le quotidien et reconstruire LA vie.
    Marie Pavlenko dépeint de merveilleux portraits de femmes d'une subtilité de chat qui dévoilent leur puissance de lionne au fur et à mesure qu'elles se rencontrent pour se déployer pleinement dans une nature sauvage (les sublimes montagnes du Mercantour), qu'il leur faudra encore apprivoiser.
    De beaux exemples de ce que les femmes peuvent faire ensemble pour changer le monde et les mentalités : engagez-vous à le lire, il est bouleversant d'humanité et ça fait du bien !

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  • Nous sommes en 2015; Astrid, 37 ans, quitte Paris où elle est kiné pour s'installer loin de tout, dans le Mercantour, la région préférée de son mari, après un drame dont elle n'arrive pas à se relever. Alors qu'elle commence à apprivoiser la douleur dans la solitude, le hasard met sur son chemin...
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    Nous sommes en 2015; Astrid, 37 ans, quitte Paris où elle est kiné pour s'installer loin de tout, dans le Mercantour, la région préférée de son mari, après un drame dont elle n'arrive pas à se relever. Alors qu'elle commence à apprivoiser la douleur dans la solitude, le hasard met sur son chemin Soraya, 17 ans, qui a fui la Syrie, a perdu la trace de sa famille et accouche d'une petite fille qu'elle rejette avec haine, l'appelant "la chose"; c'est Astrid qui s’occupe du bébé et de la mère avec humanité et tendresse.
    Ce très beau roman raconte la rencontre de deux femmes écrasées de douleur qui vont s'apprivoiser, s'aider avec pudeur. La douleur n'est jamais loin, elle surgit par flash, fait affleurer les moments de bonheur du passé. Toutes deux sont en exil au sein de leur extrême malheur et de leur solitude. Elles renaissent après avoir traversé les montagnes physiquement et symboliquement. C'est aussi un réquisitoire contre la façon dont les réfugiés sont traités sur notre sol, pourchassés pour être renvoyés en Italie d'où ils proviennent dans cette région du Mercantour.
    Marie Pavlenko accorde une très grande place à la nature dans son roman, à la terre qui permet de créer des céramiques, à celle qui renait chaque printemps comme un signe de résilience, à celle qui redonne le souffle de vie. Le roman est également une ode à la poésie qui apaise, qui permet de s'évader, qui permet d'oublier la laideur par la beauté de ses vers et de sa musicalité. Des vers ouvrent chaque chapitre , d'autres accompagnent le texte.
    L'auteure sait transmettre merveilleusement bien l'émotion, sait dire le deuil, la mort, l'exil, la peur mais aussi l'amitié, l'entraide, l'espoir, la renaissance par un style simple, qui touche, sans pathos, sans exagération.
    Un bien beau roman d'une auteure que je lis pour la première fois et certainement pas la dernière.
    #Traverserlesmontagnesetvenirnaîtreici #NetGalleyFrance

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