Des girafes qui se promènent dans les rues, un romancier idolâtre, une actrice en vogue dont on parle beaucoup mais qui ne participe en rien au récit. sauf en bande dessinée, dans ses apparitions télévisuelles. Une voiture qui parle, une machette amoureuse, un loueur de voiture ripou, une expédition amazonienne qui dégénère. Tout un catalogue de petits récits largement teintés d'humour, chacun pouvant se lire indépendamment, mais chacun convergeant pourtant vers une seule ligne dramatique composant finalement un roman cohérent. Telle est la marque de fabrique de «L'Enlèvement de Coco Patanksa», un roman à tiroirs parfois émouvant, souvent déjanté, totalement rafraîchissant. Ça dépote dès la première page et ça ne s'arrête qu'au mot fin !
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