Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Après Un récit qui donne un beau visage (10/18, n° 3159), nous retrouvons dans ce deuxième volume de la trilogie La Maison de mes pères le jeune Agojaraq, métis eskimo entouré de ses cinq pères possibles et de sa vieille nourrice Aviaja.
Dans ce Grand Nord canadien, empreint de culture eskimo, passent des antihéros magnifiques : Louis le cuisinier français en quête de saveurs nouvelles, le Père Brian, grand escroc devant l'Eternel, ou encore Ivitaq, le vieux chaman un peu déconcerté par l'évolution des mentalités. Toute la tendresse du monde, tout l'humour de Jorn Riel.
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