Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Ce livre ne raconte nullement une histoire. Cette illusion mesquine, ce cauchemar permanent est en réalité un pamphlet virulent à l'égard des grands philosophes athées qui [...] prêtent des intentions humaines à un Dieu qui leur échappe. Jadis, l'absurdité était naïve et enfantine. Aujourd'hui, elle est intellectuelle et crapuleuse. Pour eux, il n'existe que du cosmos ; vide, gigantesque et infini [...]. Si ces pauvres cons savaient qu'aller sur la Lune et sur Mars, c'est aller d'une cellule d'un corps à une autre... Mais ils fantasment encore sur leur idée du vaste sans comprendre que ce vaste n'est que l'infiniment petit. D'une politesse exquise, je ne désire pas dénoncer des noms. Je me refuse à mériter leur mépris.
Dans ce grand poème aux allures bestiales, le minutieux travail du poète est d'éclairer de sa flamme les méandres du corps humain et d'y déceler les fragiles blessures de l'âme tout en obéissant à cette force qui lui ordonne sans cesse de désobéir. Ce texte, ce journal intime du déshonneur, est enfin offert à la jeunesse de l'ombre ; à celles et ceux qui étudient les grands récits, respectent leurs pères, et se confessent à leur bonne étoile. Ceux qui, demain, seront nos sages.
Richard Dwell est un touche-à-tout. Étudiant en sociologie puis en psychologie, il réalise différents courts-métrages artistiques, et entreprend l'étude des beaux-arts. Auteur de dessins et de peintures, il se tourne aujourd'hui vers l'écriture.
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