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Son nom est Héyavé, Débolis Héyavé.
Oui, je sais, vous avez envie de me répondre « A tes souhaits ».
Des souhaits justement, Débolis en a pas mal. D'abord, d'être aimé un peu plus. Sa mère s'est barrée à sa naissance et son père l'a carrément abandonné à ses grands parents à 14 ans …
Ce court roman, ou longue nouvelle, pose donc la question de la construction de soi lorsque ses propres parents ne veulent même pas de vous. Peut-on alors s'aimer soi-même ?
Heureusement Débolis va pouvoir compter sur l'amour immense de ses grands-parents qui feront tout pour le sauver de ce mauvais départ dans l'existence.
Récit d'un jeune homme qui grandit, dans tous les sens du terme grâce aux autres, mais surtout grâce à lui-même. Dans cette détermination de vouloir faire les choses qui semblent justes. Cette manière d'essayer de surmonter les obstacles en s'éloignant de la colère inutile. Une leçon de vie.
Anaïs W. propose une jolie réflexion et on lit ce roman d'une traite.
J'attendais peut-être une fin plus percutante mais ça n'a pas gâché mon plaisir de lecture. La plume est belle et prenante. Les personnages attachants malgré la brièveté du récit, l'auteur arrivant à nous faire aimer Débolis et ceux qui l'entourent.
Il me tarde de lire une oeuvre plus longue de la même auteure.
Un livre juste magnifique.
Ce livre nous emmène dans le monde d'un adolescent qui n'est pas ordinaire. C'est un adolescent en pleine crise, abandonné à la naissance par sa mère puis à 14 ans par son père.
Comment fait-on pour se reconstruire après ces deux abandons important ?
"Je n'ai pas de parents, c'est ça mon putain de problème ! Mon père m'a bazardé ici du jour au lendemain, parce que ça faisait 14ans que je le faisais chier, 14ans qu'il ne m'aimait pas ! J'étais une sale graine qui refusait de germer, j'étais un trouillard, une petite fiotte, même Damien, ce sale connard l'a dit ! "
C'est un livre qui va nous amener à réfléchir autrement. Comment ce développer dans un contexte familial qui n'a rien pour nous aider, l'amour des grands-parents et leurs bienveillances va amené Débolis très loin dans son développement personnel. Avec l'aide de certaines personnes et de croyances tout est possible , il faut juste penser autrement.
"- Ne choisissez pas une religion, nourrissez-vous de toutes les religions. La méditation, l’éveil, la pleine conscience sont des bases pour maîtriser sa vie.
J’ai pris le livre, mais avant que je n’aie le temps de lire les premières lignes de la quatrième de couverture, elle m’en a mis un autre entre les mains : « Tantra » de Daniel Odier.
- Vous devez simplement ouvrir votre esprit aux possibilités et vous trouverez votre chemin."
Ce livre m'a fait écho et par la suite j'i pu faire le lien avec le livre de Laurent Gounelle : L'homme qui voulait être heureux.
"Andy, ne laisse jamais personne te dire ce dont tu es capable. C'est à toi de choisir et de vivre ta vie".
Le grand-père de Débolis quant à lui me fait penser au sage qui accompagne l'homme dans sa quête de bonheur tout en remettant en cause sa et notre manière de voir le choses.
Livre que je recommande. Il est facile à lire et court. Vous ne ressortirez pas indemne de ce dernier. Un grand Bravo à l'autrice.
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