Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
«J'ai bien aimé mes contemporains, écrit Michel Déon dans ce deuxième volume de Mes arches de Noé. Les évoquant, j'espère ne pas altérer leur visage, mais il est probable que j'ai entretenu des relations plus suivies avec quelques écrivains dont les livres ne m'ont pas quitté depuis ma jeunesse.»Ainsi d'Angelo, le hussard sur le toit de Giono, ainsi de Stendhal avec qui il parcourt la France, et de Chateaubriand pour la Grèce. Mais Déon nous donne à voir aussi quelques-uns de ces visages qu'il a aimés : Coco Chanel, une nuit de Noël, Roger Nimier, Antoine Blondin, Françoise Sagan... Quant à ces «fantômes déjà confiés à l'imaginaire», il les rappelle à lui à travers des revues littéraires - La Table ronde, La Revue des deux mondes -, à travers les nuits de l'après-guerre, à Paris, son travail de journaliste et d'éditeur. Cela évoqué, «peut-être sera-t-il encore temps, un jour, de parler de Vancouver».
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