Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
La tradition grammaticale a pendant longtemps considéré la catégorie du temps comme une catégorie formelle liée intrinsèquement à la forme verbale. Ensuite, avec l'apport des grammairiens russes, elle a découvert à côté de celle-ci une autre catégorie, celle de l'aspect. Cette découverte a plus tard mené à la catégorisation des langues naturelles en langues à temps et langues à aspects. Certains linguistes comme A. Meillet (1958), attribuaient à la catégorie verbale de l'aspect, une pensée "primitive portée au concret" et à la catégorie du temps, une pensée "abstraite et évolutive" qui, en français, aurait atteint son plein aboutissement avec la disparition de tout aspect. Cette conception est-elle recevable ? Le français n'exprime-t-il pas l'aspect ? Que recouvrent réellement ces catégories ?, etc. Cette étude tente de répondre à ces questions en s'appuyant sur les problématiques de l'énonciation et en examinant tous les moyens d'expression de ces catégories en français (langue dite à temps) et en wolof (langue dite à aspect). Elle s'adresse ainsi à tous les étudiants et chercheurs qui s'intéressent à la linguistique générale et plus particulièrement aux langues africaines.
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