"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Son Excellence (Le comte d'Abranhos) fut publié après la mort de Eça de Queiroz qui ne l'a donc pas revu ni corrigé.
Ecrit entre 1871 et 1880, il fait partie, avec Le Crime du Tadre Amaro, Le Cousin Bazilio, La Capitale, Alves et Cie et Les Maia, d'une suite visant à décrire la société portugaise telle qdelle existait depuis 1830. C'est sans doute une des satires les plus violentes jamais écrites sur les moeurs politiques, d'où, peut-être, sa non publication du vivant de l'auteur... Conçu comme un hommage rendu à Son Excellence le comte d'Abranhos par son secrétaire particulier, c'est en réalité l'étalage des bassesses, forfaits et infamies commis par ladite Excellence pour accaparer le pouvoir et le garder.
D'une irrésistible drôlerie, d'une méchanceté à peine exagérée, ce livre sulfureux n'a rien perdu de son actualité.
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