Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Le jeune Servais, fils d'imprimeurs lyonnais, est un adolescent réservé qui rêve de voyages lointains. Il s'imagine naviguant vers l'horizon, explorant de vastes terres inconnues... Et Servais a de la chance, puisqu'à la Renaissance, de nombreux ouvrages d'explorateurs sont publiés, et son père Nicolas Des Collines est chargé de les imprimer. Mais son père, sur les conseils de ses amis imprimeurs et de François Rabelais, a pour lui d'autres ambitions : voulant l'éduquer suivant les principes humanistes, il l'envoie à Paris pour étudier. Ainsi son premier grand voyage ne sera-t-il pas celui qu'il espérait, et pourtant, c'est celui qui changera sa vie...
C'est sans doute le Anne Percin que j'ai le moins aimé parmi tous ceux que j'ai lu. Ni la faute à l'écriture ou aux personnages que j'ai adoré (surtout Servais et ses parents), mais bien à l'histoire. Je m'attendais complètement à autre chose et j'avoue que du coup j'étais un peu déçue. On est plongée dans le Paris de la Renaissance, entre les étudiants, les imprimeurs, j'avais parfois l'impression de voir toute la vie qui se dégageait des rues de Paris. Ce livre traite également du sujet du protestantisme que l'Eglise punie (quitte à brûler à tord et à travers), et j'avoue que ça m'a plus saoulé qu'autre chose (sûrement un souvenir de mes cours à l'IUFM). Bref ce n'est pas un mauvais livre, mais il ne m'a guère charmé, à cause du sujet traité plus que du reste.
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