"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
" J'ai défendu Sarajevo contre tous les nationalistes, parce que j'ai cette ville dans la peau.
" Ainsi parle Jovan Divjak, 67 ans. Né à Belgrade de parents serbes mais bosnien dans l'âme, cet officier a refusé de se ranger aux côtés des Milosevic, Karadzic et autres Mladic, au moment où ils précipitaient la Bosnie-Herzégovine dans la guerre. Ancien membre de la garde de Tito, pour lequel il garde une admiration indéfectible, vieil ami de la France, doté d'un humour aussi solide que son bon sens, Jovan Divjak revient sur le parcours qui l'a amené à dire non à la folie meurtrière...
Il parle avec passion de la ville où il habite depuis 1966. Il raconte l'incroyable résistance de Sarajevo, les artistes jouant sous les bombes, les tribulations de l'armée de Bosnie... Il ne cache ni ses impatiences ni ses doutes : la paix n'est pas celle dont il a rêvé.
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