Popotier De La Croisiere Jaune (Le)

• Date de parution : 16/10/2003
• Editeur : Cheminements
• EAN : 9782844781703
• Série : (-)
• Support : Papier

• Nombre de pages : (-)
• Collection : (-)
• Genre : Littérature française
• Thème : Romans Nouvelles Correspondance
• Prix littéraire(s) : (-)

Né dans les oliveraies de Zarzis aux portes de Djerba, Yves Gauffreteau se trouve embarqué comme cuisinier dans une des plus grandes aventures du xixe siècle : La Croisière jaune (1931-1932).
Entre Beyrouth et Pékin, le popotier se plonge dans le Moyen Âge, les bouges de Bagdad, les marchés de... Voir plus

Né dans les oliveraies de Zarzis aux portes de Djerba, Yves Gauffreteau se trouve embarqué comme cuisinier dans une des plus grandes aventures du xixe siècle : La Croisière jaune (1931-1932).
Entre Beyrouth et Pékin, le popotier se plonge dans le Moyen Âge, les bouges de Bagdad, les marchés de Kaboul et de Srinagar.
En compagnie d'une poignée de héros, il grimpe l'Himalaya dans des voitures à chenilles. Prisonnier dans le Sin-Kiang, frôlant la mort près du Fleuve Jaune, il rallie Pékin, épuisé.
Il tourne la page de la Croisière en retournant en Tunisie. Patron d'une savonnerie, il sera expulsé par son ancien camarade de lycée, le président Habib Bourguiba.
Il se réfugiera à Saint-Christophe sur le Nais, en Indre-et-Loire. À plus de 60 ans, il livrera un combat pathétique et dur avec la terre, dans une mer de pommiers.
Vaincu, usé, Yves Gauffreteau nous a quittés dans le silence de l'hiver 1999. Mais le popotier n'est pas mort, vous savez... ce livre lui redonne vie.

Journaliste à La Nouvelle République du Centre-Ouest à Tours, Jean-Éric Zabrodsky a des racines à la fois ukrainienne, polonaise et chinonaise. Il revendique cette "étrangeté" haut et fort.
"Étudie comme si tu devais vivre toujours et vis comme si tu devais mourir demain" est sa devise. Parler des autres, les mettre en lumière avec les mots est son credo.
Jean-Éric Zabrodsky a été récompensé par le prix du Crédit Lyonnais, prix national du meilleur article sportif en 1994 et par le prix Antoine Blondin en 1996.