Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Matt Ryan est Irlandais. Il est de ce pays de collines aux courbes douces, d'herbe verte et de mélancolie. Il est de ce pays de cris et de fureur où le sang coule à flots continus. C'est un homme de là-bas, un homme que les contradictions façonnent, un homme qui rit de malheur ou pleure de bonheur, un terroriste ou un homme rempli de douceur.
Pétales de cendres raconte une journée de cet homme. De l'aube au crépuscule, rythmée par les bêlements des moutons qui vont à l'abattoir, la plainte du vent derrière les fenêtres, les souvenirs que Ryan évoque pour son chien, le temps défile lentement, chariant dans ses rideaux de pluie ou ses rayons de soleil toutes les contradictions, les révoltes, les résignations, les menus bonheurs et les souvenirs terribles de l'Irlandais. Par les mots, Ryan le terroriste, à moins que ce soit Ryan l'homme doux, égrène un par un les instants de sa vie, remplissant de souvenirs les minutes de cette journée particulière.
Et, au travers de ces minutes, les minutes du procès de sa vie, au travers de ses mots, on voit les nuages passer, laisser tomber leur eau et puis disparaître au loin, percés de rayons de soleil aussi fugaces que porteurs d'espoir. Quand la nuit tombera, Ryan le milicien devra absoudre quelqu'un. Ou bien Ryan, l'homme rempli de douceur, devra tuer quelqu'un.
Alors, au fil des pages, on se surprend à espérer, avec le chien, que le jour ne tombera jamais...
Nicolas Couchepin
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