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Septembre 1972, jour de rentrée scolaire. Le narrateur descend le large escalier en terrazzo qui mène à l'étage où se trouvent les chambres, avant de s'arrêter. La porte de l'unique chambre du rez-de-chaussée est ouverte. Quelques personnes entourent le lit. Certaines sont assises, d'autres se tiennent debout. Sa mère y est allongée...
Septembre?1980. Alors qu'il écoute Régis raconter ses «?exploits?» avec une engagée de la caserne où il est stationné, le narrateur aperçoit une inconnue entrer dans la salle. Son acolyte lui explique que c'est la soeur d'un copain de régiment. Intrigué, son regard est tout de suite accroché par une silhouette qui se distingue pourtant à peine. Alors qu'elle s'approche, il ne peut s'empêcher de la dévisager.
Entre ces deux faits marquants qui bornent son récit, Denis Bour raconte son enfance, son adolescence, puis le passage à la vie d'adulte avec un certain humour, un peu de dérision (la petite voix qui l'accompagne depuis toujours...), au rythme d'anecdotes (tout est vrai) et de portraits de ceux qui ont compté pour lui. Il dépeint la vie à la campagne dans les années 60 à 80. Une vie gaie et insouciante. Celle d'un autre siècle.
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