"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dans les haras Delaunay, on ne dresse pas que les chevaux (ou les juments). Emilienne, la patronne, soumise par la Commandante, est plus souvent qu'à son tour harnachée. et montée. Jument en rut ou femme du monde ? Les deux, mon capitaine ! Elle n'est pas la seule que tourmentent les démons de la chair. Dans l'odeur du cuir et du crottin, nous assistons à d'insolites sarabandes. Julien, le jeune apprenti jockey, dominé par l'une, dominant l'autre, ne sait plus où donner de la tête. De la tête ? Façon de parler. Et n'oublions pas Boulard, le punisseur, qui n'hésite pas à marquer ses bêtes au fer rouge. La Commandante aurait-elle trouvé son maître ? Si vous avez aimé La Commandante, vous ne serez pas déçu ! Un des plus sulfureux roman de Carlo Vivari.
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