"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Nous faire partager son bonheur de lire, tel est le défi de Jean Grosjean quand il nous propose de nous accompagner tout au long de ce texte poétique, mais difficile, obscur. Sa lecture, comme celle de tous les chrétiens à travers les siècles, recrée sans cesse le texte.L'écriture de l'Apocalypse est iconoclaste. «Elle se méfie des idées parce que ce sont des images usées qui s'intériorisent facilement et deviennent des idoles mentales. Elle leur préfère les images criardes, à condition qu'elles s'entre-détruisent : Je regarde le lion et je vois l'agneau ; il est debout comme quelqu'un d'égorgé.»Dieu donne ici à son Christ de nous montrer ce qu'il sait de Dieu. «Quant à ce Jean si magnifiquement surnommé esclave de Dieu, on s'aperçoit tout de suite à quoi il sert.» Son langage n'est rien d'autre que le témoignage de Jésus. «Ainsi ce langage de Dieu que Jean atteste est justement ce Jésus dont le rôle atteste Dieu.»Pour Jean Grosjean, l'Apocalypse de Jean ne nous invite pas à espérer la fin du monde libératrice. Elle tient au contraire à ne nous révéler que notre aujourd'hui.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !