Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
La figure de l'âne a fait l'objet de méditations pour saint Josémaría Escrivá à de nombreuses reprises et cela a été reflété dans ses écrits. La plus connue est peut-être celle-ci : « Bénie soit la persévérance de l'âne à la noria ! -Toujours au même pas. Toujours les mêmes tours. -Jour après jour, tous pareils. Faute de quoi, il n'y aurait ni maturité pour les fruits ni fraîcheur dans le verger, et le jardin serait privé de parfums. Applique cette pensée à ta vie intérieure. » (Chemin, n°998). La noria est un appareil destiné à élever l'eau des puits, constitué de godets attachés sur une chaîne sans fin qu'entraîne une roue placée au-dessus du puits. Les godets plongent renversés dans l'eau, remontent pleins et se déversent dans un réservoir en passant sur la roue. Pour que fonctionne la roue, un ou deux ânes étaient attachés à celle-ci, et faisaient des tours, inlassablement.
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