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Ils ont entendu parler d'un fabuleux Modigliani perdu et sont prêts à tout pour mettre la main dessus : une jeune étudiante en histoire de l'art dévorée d'ambition, un marchand de tableaux peu scrupuleux et un galeriste en pleine crise financière et conjugale...
Sans compter quelques faussaires ingénieux et une actrice idéaliste venant allégrement pimenter une course poursuite échevelée. Qui sortira vainqueur de cette chasse au trésor menée tambour battant, de Paris à Rimini, en passant par les quartiers huppés de Londres ? Un Ken Follett inédit, enjoué et alerte, qui offre une peinture édifiante des coulisses du monde de l'art.
Détrompez vous ce n'est pas du Follett tel que vous le connaissez. Décevant avec une histoire mal amenée ou pas réfléchie.
Dee, étudiante en art annonce à son oncle Charles, galeriste reconnu, qu'elle part à la recherche d'un Modigliani perdu.
Peter Uscher, peintre contemporain, marié et père d'une petite fille, est en panne d'exposition et se retrouve à quémander des lieux mais aucun galeriste ne donne suite , pas même son copain d'école qui ouvre sa propre galerie. Tous ont appris la nouvelle du Modigliani disparu et tous le veulent.
Peter et son pote Mitch en entendent parler et décident de se lancer dans la chasse à ce Modigliani. Qui va le trouver ?
Ce roman retrace donc la course des différents protagonistes de Paris à un village perdu d'Italie. Course qui connaîtra de nombreuses péripéties et rebondissements conférant à ce roman un aspect "polar". S'il se lit aisément, il reste très superficiel et échoue à entrainer le lecteur dans les différentes aventures des protagonistes.
Il faut le lire comme un premier roman et faire abstraction des romans historiques bien étoffés que Ken Follet a l'habitude de nous offrir. Ce n'est assurément pas le meilleur livre de cet auteur mais il pourrait trouver son public.
Quand j'ai trouvé ce livre je me suis dit
ohhh un Follett que je n'ai pas lu , effectivement il se lit tout seul, on dirait un roman de gare, j'ai pas retrouvé la patte de Follett.
L'histoire est sympa on peut pas dire le contraire un marc Levy aurait pu l'écrire aussi que cela ne m'aurait pas choqué !
On part sur la trace d'un duos de faussaires qui font tout pour démontrer que le milieu de la peinture est un milieu pourri....
voilà en gros ..
C'est gentil, presque un peu trop ! On se croirait dans un mauvais Woody Allen. Ken Follet nous a forcément habitué à mieux, mais j'ai cru comprendre que c'est aussi un de ses premiers romans, en tout cas publié (sous un autre nom) avant ses grandes sagas et ses romans d'envergure comme Les Piliers de la Terre. Donc je mettrai sur le dos de la jeunesse et de l'enthousiasme les faiblesses narratives du Scandale Modigliani (qui ressemble plus à une anecdote, qu'à un véritable scandale).
Toutefois, on perçoit déjà la panoplie du futur écrivain, une série de personnages bien travaillés, riches, dont les comportements sont aussi bien décrit et aussi important que l'environnement dans lequel ils évoluent. L'histoire, qui est en fait une chasse au trésor, est bien menée, le final agréablement construit. Mais le rythme est lent, trop lent.
L'histoire : la rumeur d'un vieux peintre, collectionneur Montmartrois (c'est si pittoresque), apprend à plusieurs Londoniens, en quête du fortune, en quête de gloire, en quête d'eux mêmes, qu'un Modigliani non répertorié serait caché quelque part en Italie. Tout les coups sont permis pour mettre la main dessus. Que le plus fort gagne !
Petit plus, la réflexion sur le monde de l'art est pertinente, quand la spéculation et les affaires prennent le pas sur la création et le talent, ça finit mal.. en général.
J’étais très intéressée par le fond de cette aventure, dans le milieu de la peinture, des galeries, et apparemment sur les traces de Modigliani, je pensais me régaler. Moi qui suis une inconditionnelle de romans de Ken Follet, là j’avoue avoir été un peu déçue. Mais sachant qu’il l’a écrit il y a bien longtemps, je suis malgré tout indulgente !
C’est un roman court, mais envahi de personnages, ce qui parfois perd le lecteur. De nombreuses descriptions, parfois trop. Mais il y a pourtant un intérêt certain à mieux connaître la vie des galeristes, à mieux comprendre comment se fait parfois le prix du marché, la côte de certains artistes. Et pourquoi également le manque de côte des nouveaux artistes, qui ont du mal à vivre, à percer, à se faire connaitre.
Une intrigue légère, un Modigliani qui a une époque de sa vie créait sous l’influence de drogues, une jeune anglaise qui souhaite écrire une thèse justement sur cette influence de la drogue dans la création artistique, et nous voilà partis jusqu’à Livourne et dans quelque village de l’Italie profonde à la recherche d’un tableau du peintre qui aurait dû traverser le temps sans être découvert. Là vont se rencontrer de bien trop nombreux anglais pour que l’aventure soit honnête, et pour qu’elle reste crédible. On assiste à quelques aventures un peu trop rocambolesques, à une course au tableau perdu, une course au cours de laquelle chacun n’hésite pas à tromper l’autre, même son ami, même sa famille. Le pouvoir de l’argent, de la découverte, de la réussite, qui fait oublier jusqu’aux sentiments les plus nobles.
Et pourtant c’est un gentil moment de lecture, bien qu’il ne laisse pas un souvenir impérissable. Mais Ken Follet a tellement de talent qu’on lui pardonne d’avoir édité ce livre tant d’années après l’avoir écrit !
moins bon que les autres , à mon avis .
Dee découvre qu'un Modigliani n'a jamais été révelé.
Oncle Lampeth et Julian, qui sont informés de sa découverte, partent aussi "à la chasse au trésor", en Italie. Pendant ce temps, Peter, Mitch et Anne font des faux, qu'ils vendent aux galleries anglaises.
De quel scandale s'agit-il ? Le scandale semble être qu'il y ait deux faux Modigliani, et aucun authentique correspondant à ce "tableau perdu".
Intrigue compliquée, des liens peu clairs entre les personnages, et entre leurs initiatives.... Ken Follett hésitait à lancer ce livre sur le marché. Il le qualifiait d'oeuvre légère et raffraîchissante
Ken Follett a beaucoup progressé depuis 1976 pour le style, et la "montée en puissance de l'enjeu" !
histoire un peu confuse mais assez agréable à lire !
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