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Ken Follett

Ken Follett
Ken Follett est né à Cardiff, au Pays de Galles. D'abord reporter, il dirige ensuite sa propre maison d'édition. En 1978, il écrit «L'Arme à l'œil», un thriller original qui rencontre immédiatement le succès. Depuis, il se consacre entièrement à l'écriture. Outre les romans d'espionnage comme «Le... Voir plus
Ken Follett est né à Cardiff, au Pays de Galles. D'abord reporter, il dirige ensuite sa propre maison d'édition. En 1978, il écrit «L'Arme à l'œil», un thriller original qui rencontre immédiatement le succès. Depuis, il se consacre entièrement à l'écriture. Outre les romans d'espionnage comme «Le Réseau Corneille» ou «Le Vol du frelon», Ken Follett a signé des fresques historiques telles que «Les Piliers de la Terre», «La Marque de Windfield», «Le Pays de la liberté» et des romans brûlants d'actualité comme «Le Troisième Jumeau», qui nous plonge au cœur des manœuvres inavouables liées aux découvertes de la génétique. Ses romans sont traduits dans plus de vingt langues, et six d'entre eux ont été portés à l'écran.

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Articles en lien avec Ken Follett (4)

Avis sur cet auteur (323)

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    Couverture du livre « Les armes de la lumière » de Ken Follett aux éditions Robert Laffont

    Zaza sur Les armes de la lumière de Ken Follett

    Un Ken Follett est toujours un long et bon moment de lecture. Celui ci ne déroge pas. L'histoire se déroule en Angleterre dès années 1792 à 1825 avec quelques personnages aux caractères bien trempés. Les ouvriers travaillent à l'usine en tant que tisserands et fileuses et les plus fortunés sont...
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    Un Ken Follett est toujours un long et bon moment de lecture. Celui ci ne déroge pas. L'histoire se déroule en Angleterre dès années 1792 à 1825 avec quelques personnages aux caractères bien trempés. Les ouvriers travaillent à l'usine en tant que tisserands et fileuses et les plus fortunés sont les patrons. La montée d'un syndicat est mal vu et les pendaisons sont fréquentes et les coupables vite jugés. Puis la France avec Napoléon nous entraîne en guerre. Waterloo et sa bataille sont bien décrits.

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    Couverture du livre « Les armes de la lumière » de Ken Follett aux éditions Robert Laffont

    Floflob1976 sur Les armes de la lumière de Ken Follett

    Ken Follet nous amène dans la ville de Kingsbrige à la fin du XVIIème siécle. Il nous fais vivre le quotidien des personnages du village anglais, centre de tisserand où la concurrence est constante. Intrigues, pressions chacun essaie de s'en sortir dans cette période où Napoléon essaie de...
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    Ken Follet nous amène dans la ville de Kingsbrige à la fin du XVIIème siécle. Il nous fais vivre le quotidien des personnages du village anglais, centre de tisserand où la concurrence est constante. Intrigues, pressions chacun essaie de s'en sortir dans cette période où Napoléon essaie de conquérir toujours plus de territoire.

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    Couverture du livre « Les armes de la lumière » de Ken Follett aux éditions Robert Laffont

    Les Lectures de Cannetille sur Les armes de la lumière de Ken Follett

    Avec ce cinquième tome, Ken Follett annonce clore la phénoménale saga historique qui, depuis Les piliers de la terre, son plus grand succès littéraire, fait vivre à travers les siècles la ville fictive de Kingsbridge, dans le Sud de l’Angleterre. Sa fresque prend cette fois pour toile de fond...
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    Avec ce cinquième tome, Ken Follett annonce clore la phénoménale saga historique qui, depuis Les piliers de la terre, son plus grand succès littéraire, fait vivre à travers les siècles la ville fictive de Kingsbridge, dans le Sud de l’Angleterre. Sa fresque prend cette fois pour toile de fond deux révolutions, la révolution industrielle et la Révolution française, de 1792 à la bataille de Waterloo en 1815.

    En cette fin de XVIIIe siècle, un puissant vent de changement souffle sur la ville anglaise de Kingsbridge. Tandis que la mécanisation bouleverse la vie des ouvriers du textile en les rassemblant dans des fabriques où se généralisent des conditions de travail dramatiques, la Révolution française, avec ce qu’elle propage d’idées de liberté et de droits à la parole du peuple, fait trembler le gouvernement britannique qui, par peur de la contagion, multiplie les actions répressives. Syndicats et rassemblements sont interdits, grèves et émeutes sévèrement punies par une justice expéditive à la main des puissants. Le climat se tend encore lorsque éclate la guerre contre la France, prélevant son lot de conscrits de force – la moitié des effectifs de la Royal Navy – et mettant à mal l’économie. La prise de pouvoir et les conquêtes territoriales de Napoléon Bonaparte, puis le retour de l’Aigle échappé de l’île d’Elbe, font désespérer l’Angleterre, quand, venant mettre fin à plus de deux décennies de guerre, la bataille de Waterloo donne définitivement la victoire aux Anglais.

    Dans ce grand tumulte, hommes et femmes tentent de tracer leur chemin : c’est au travers de leurs destins chahutés, nous permettant de nous identifier à une poignée de personnages que leurs émotions, leurs peurs et leurs aspirations nous rendent proches par-delà les siècles, que Ken Follett nous fait vivre cette période de l’intérieur, en un récit si bien incarné que, puissamment saisi par les cruelles injustices sociales qui l’émaillent, l’on s’y investit avec passion de la première à la dernière de ses près de huit cents pages.

    Après la relative déception du Crépuscule et l’aube, bien moins crédible quant à ses personnages et à son intrigue pourtant insérés dans un contexte historique tout aussi magistralement rendu, cet ultime épisode en forme de fresque sociale clôt la saga Kingsbridge en beauté, nous offrant une lecture aussi captivante qu’édifiante.

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    Couverture du livre « Le siècle Tome 1 ; la chute des géants » de Ken Follett aux éditions Le Livre De Poche

    C. Souli sur Le siècle Tome 1 ; la chute des géants de Ken Follett

    Pour un livre de poche, c'est un gros pavé. Qui plus est, écrit en petits caractères. Il faut être motivé pour l'entamer. Mais une fois commencé c'est d'une lecture facile et vite accrocheuse.
    La multitude de personnages m'a fait craindre de devoir régulièrement revenir en arrière en me...
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    Pour un livre de poche, c'est un gros pavé. Qui plus est, écrit en petits caractères. Il faut être motivé pour l'entamer. Mais une fois commencé c'est d'une lecture facile et vite accrocheuse.
    La multitude de personnages m'a fait craindre de devoir régulièrement revenir en arrière en me demandant "c'est qui déjà celui-là ? Dans quelle situation l'ai-je laissé ?.…". En fait non, Follett à l'art de ne jamais nous perdre. Il s'arrange pour insérer des phrases dans ses débuts de chapitre, qui nous rappellent de façon assez fluide, où on en était et avec qui.
    Mais l'inconvénient est que ça entraîne beaucoup de redites, parfois mot pour mot, comme si l'auteur avait oublié qu'il l'avait déjà dit auparavant. Et il y a beaucoup de détails qui posent certes bien le décor, mais qui contribuent à l'épaisseur de l'ouvrage sans être indispensables.
    Et alors, on finit par discerner le mode de travail de l'écrivain qui se révèle un peu trop systématique. Et ce qui séduisait au départ finit par agacer.
    Par exemple, chaque apparition d'un personnage s'accompagne d'une description vestimentaire détaillée qui donne l'impression de lire une revue de mode. J'en suis venu à me dire que l'auteur avait fait un genre d'étude de marché et qu'il visait à s'attirer aussi un maximum de lectrices. le sujet général (Histoire, diplomatie politique, scènes de guerre...) assurant plutôt un lectorat masculin, pour s'attirer son pendant féminin il insiste sur ce style ""revue de mode "et sur les histoires d'amour de presque tous les personnages.
    C'est là un autre aspect qui a fini par particulièrement m'agacer.
    On bascule régulièrement sur des scènes et des dialogues à la guimauve, sur de l'érotisme graveleux qui n'a pas vraiment sa place dans ce type de roman. En tout cas pas de cette façon insistante. Un terme cru et vulgaire peut parfois tomber comme un cheveu sur la soupe dans un passage qui ne s'y prête pas du tout.
    Bref on a vraiment l'impression que Follett cherche à émoustiller la lectrice potentielle dans un calcul plus commercial qu'artistique.
    Résultat, ce livre n'arrive pas à se positionner. Doit-il être un roman purement historique à travers des sagas familiales ? Ou un roman érotique à l'eau-de-rose pour la "ménagère de plus de 50 ans"? Ou encore un simple essai documentaire retraçant les grandes heures, négociations et décisions qui firent les grands événements de ce début de siècle ?
    Car cet aspect là aussi ressort : un gros travail documentaire sur les relations diplomatiques internationales, les différents courants, les décisions prises, plus ou moins heureuses, les entrevues entre différents personnages de premier plan... Et pour relater cela, l'auteur glisse souvent ses infos dans les dialogues de ses différents personnages. Mais ça paraît trop artificiel. les dialogues sonnent faux et révèlent clairement l'intention de faire passer une information historique.
    Bon, j'ai l'air de beaucoup critiquer l'ouvrage mais j'ai quand-même bien aimé. La lecture est claire, ce n'est certes pas de la grande littérature, c'est clair. Le style n'a rien de remarquable. Mais c'est efficace.
    Si les scènes de bluettes gnangnans m'ont agacé, j'ai adoré les scènes d'action et de combats qui sont parfaitement immersives. Et dans l'ensemble, j'ai aimé la "vulgarisation" de la situation internationale qui mena à cette guerre et à l'émergence de l'esprit de révolution contre les sociétés aristocratiques. À l'émergence des états unis et, pour la Russie, du sovietisme, sur la scène mondiale. Toutes ces choses tellement complexes qui sont souvent un peu confuses dans nos esprits.
    J'ai aussi aimé apprendre des choses nouvelles comme le fait que des troupes européennes soient restées en Russie orientale pour protéger les restes des empires coloniaux qui s'effondraient et pour continuer à combattre, officieusement cette fois, contre le bolchevisme qui terrorisait tout le monde.
    Malgré ses défauts, je recommande donc ce livre à tous ceux un tant soit peu intéressés par l'histoire.