"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Capitaine d'un navire pourchassé par les Anglais, le Bordelais Étienne Girard trouve refuge à Philadelphie le 4 juillet 1776, jour de la Déclaration d'indépendance des treize États d'Amérique. Trente ans plus tard, il est l'homme le plus riche des États-Unis. Devenu armateur, il commerce de l'Alaska à la Chine, rachète la Banque des États-Unis et finance la guerre de 1812 contre l'Angleterre. Cette incroyable fortune, il la doit autant à un travail acharné qu'à une vision originale du commerce nourrie de la philosophie des Lumières. Homme singulier, cynique et attachant, Étienne, devenu Stephen Girard, incarne ce rêve de puissance qu'aucune multinationale ne peut revendiquer. Solitaire mais sachant s'entourer de fidèles, le vrai compagnon de sa vie sera pourtant un perroquet, Macao, dont le cri de guerre est : « Au travail ! » Alliant le talent du romancier à la précision de l'historien, Philippe Simiot redonne vie à ce Français méconnu, devenu le premier milliardaire américain, et nous offre une vision passionnante de la naissance d'une grande nation.Le banquier et le perroquet a été sélectionné par la Fédération des Alliances Françaises dans le cadre de son programme annuel One Book, One Federation pour l'année 2011.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !