"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
De l'immense bidonville d'Orfiz, ville ultra-moderne, surgit un arbre au sein duquel s'était endormi Dipoupad. C'est un vieux Noir aveugle, dépositaire de la mémoire de l'humanité qu'il transmet aux « enfants du Soleil » dont font partie Alizée et Om. Dipoupad a le pouvoir de faire croître les fleurs grâce à sa musique et tient tête à Simplon, savant qui oeuvre à la destruction de la nature au profit du modernisme. Om sculpte un personnage dans l'écorce de l'Arbre qui peu à peu prend vie et part à la recherche de la dernière forêt. La terre rétrécit et la forêt se rapproche de la ville jusqu'à l'envahir complètement. Simplon brûle les arbres alors Dipoupad s'en va à la recherche de Gunil, accompagné de ses amis et des « enfants du Soleil ». Simplon les retrouve et blesse mortellement Dipoupad alors qu'il tente de protéger la forêt. Il mourra au creux de l'Arbre. Alizée quant à elle réalise à l'issue de cette aventure, son rêve : être une femme.
L'arbre du dernier savoir est un merveilleux conte qui communique à toutes les générations les valeurs universelles telles le respect de la nature, l'amour, la poésie autant de richesses méprisées par les défenseurs du modernisme à outrance. La quête de la forêt se double de la quête de l'humain.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !