Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Le troisième tome des Punica, allant des chants IX à XIII, se concentre d'abord pendant deux chants sur la déroute des Romains lors de la bataille de Cannes, imputée à Varron dont Silius Italicus dénonce la folle assurance. Jupiter convoque Mars au secours des Romains, et l'auteur n'hésite pas à souligner le courage et la bravoure d'Hannibal, dans une longue aristie qui traduit la défaite des Romains ; c'est cependant une manière de valoriser paradoxalement les futurs vainqueurs de la deuxième guerre punique que de les confronter à un tel héros. Le livre XI est consacré à des considérations diplomatiques et aux défections des villes alliées à Rome (Capoue, Tarente, Syracuse etc.) : il s'agit selon de nombreux critiques de questionner les notions antithétiques de fides et de perfidia. A partir du livre XII, le poète met en scène le redressement romain des années -215 à -211 et les défaites d'Hannibal à Naples, Cumes et Nola. Enfin le chant XIII amorce la « Geste des Scipions » avec la reprise de Capoue et la fuite des Carthaginois.
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