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«Gauguin séjourna aux Marquises du 16 septembre 1901 à sa mort, le 8 mai 1903. Il y éleva la "Maison du jouir". Le roman de José Pierre est comme cette maison : le peintre y fait l'amour et la peinture. Prétexte du roman : le tournage d'un film sur la vie de Gauguin aux Marquises. Un film hard, qui montre le sexe du peintre oeuvrant ses amies vahiné aussi bien que l'acte et la pensée de peindre. Trois éléments : le tournage et sa précision technique, le journal de la scripte, les monologues de Gauguin ; trois tons qui, sans cesse, diversifient les points de vue et intensifient le récit. D'où un mouvement de figuration grâce auquel le personnage de Gauguin réalise la passion de l'auteur pour l'art et pour la vie dans un élan qui les rend inséparables. Le savoir est devenu amour. Et le "jouir", dans ce roman, est la pratique érotique de l'art - et de l'écriture.» Bernard Noël.
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