Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Le café burundais a été contrôlé par le monopole étatique depuis son introduction. A partir de 1992, sous l'influence de la Banque mondiale dans le cadre des programmes d'ajustement structurel, le Burundi a entamé le processus de privatisation. La Banque Mondiale voulait une privatisation du secteur productif et une libéralisation de la commercialisation. Cependant, la manière dont cette privatisation a été opérée a soulevé plus de polémiques au sein des acteurs de la filière café. Les caféiculteurs constatant qu'ils ont été exclus du processus, ont opté au sabotage du processus. La situation de ces derniers ont été amplifié par leur contrainte budgétaire et ne pouvant pas accéder au crédit à cause du risque de leur activité, ont préféré à se réunir dans des coopératives pour se faire construire leur propre station de lavage.Ce qui aurait dû aider ces caféiculteurs et garantir la longévité de la privatisation, auraient été une contribution de l'Etat sous forme de dette-participation.
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