Après l'analyse des causes de la pauvreté en Afrique : politiques, économiques, sanitaires, démographiques, climatiques, humanitaires, l'auteur se concentre sur des pistes de solution. Notamment dans son premier chapitre, « Faire la politique autrement ». Il sensibilise au patriotisme et au panafricanisme avant d'aborder les questions financières, économiques, en proposant la création d'une monnaie africaine au détriment du franc CFA. Ceci afin de relancer l'économie en se basant Sur l'exploitation des matières premières sur place et sur l'auto-investissement : c'est-à-dire que l'État devient son propre investisseur, au lieu de nourrir l'espoir d'aides extérieures. Une police fiscale de lutte contre les crimes économiques soutiendrait ce projet. Dans le volet politique, l'auteur innove avec un chapitre dit : « Lettre à l'ONU », où il propose une loi universelle limitant les mandats de tous les présidents du monde à deux, afin de bloquer la route au phénomène de troisième mandat, source de violence. Ensuite, il est question de baisser les barrières douanières afin de faciliter le libre-échange entre les États ; et enfin, de réduire les dépenses publiques pour permettre la création des allocations familiales, afin de combattre la pauvreté à la source. Pour finir, la limitation de l'effectif des membres du gouvernement passerait à quinze, et chaque ministre serait nommé sur concours, d'après un programme ministériel, afin de prioriser la méritocratie.
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