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e tome est celui de l'avenir, Mia as encore une plus grande place dans son émission, elle interviewe des personnalités du sport et de la politique.
Wes se fait suivre, il va de mieux en mieux, sauf qu'il est jaloux, il devient très jaloux.
Il lui demande sa main, et commence a organiser leurs travail.
Ils vont tous diner chez le frère prodigue, Wes envisage d'acheter un bout de terrain au texas, pour qu'il ai des moments au calmes, après des moments intenses en ville.
Çà sent la fin, Mia et Wes retrouve leur sérénité, elle s'épanouit dans son travail, et on es contente, que ça va finir de cette manière.
Que nous réserve le dernier tome ?
Je suis vraiment très contente d’écrire cette chronique, parce qu’après beaucoup trop de déceptions à mon goût, Calendar Girl a de nouveau su m’enthousiasmer. Et pas qu’un peu ! Ce tome 11 remonte considérablement le niveau et m’a presque fait oublier les petites erreurs de parcours précédentes. Pour tout vous dire, je suis même un peu triste de savoir qu’il s’agit de l’avant-dernier tome et que les aventures de Mia touchent déjà à leur fin.
Notre héroïne se rend à New York pour le travail. Récemment engagée au poste de présentatrice pour la télévision, elle doit interviewer des gens à l’occasion de Thanksgiving. C’est aussi l’occasion de retrouver deux anciens clients de l’année et désormais ses amis : Anton, le chanteur de hip-hop, et Mason, le joueur de base-ball. Tout semble se goupiller à merveille pour la jeune femme. Ses dettes sont payées, son boulot d’escort-girl est derrière elle, elle a trouvé l’amour auprès de Wes et est maintenant entourée d’une famille plus grande et d’amis aimants. La seule ombre au tableau reste son père, toujours plongé dans le coma.
Je dois dire que ce tome-là fait plaisir à lire. Il est plein de douceur, de joie et de bons sentiments. Bref, ça met la pêche et ça ne donne pas envie de terminer la saga, non, non. Audrey Carlan parvient à se renouveler dans un avant-dernier tome qui sonne presque le glas de fin. Car oui, on sent le grand final se rapprocher, maintenant que les problèmes de Mia se résolvent les uns après les autres. Et ce constat me fait prendre conscience que même si j’ai été exaspérée, déboussolée ou frustrée par moments, je me suis tout de même attachée à Mia. Après tout, voilà presque un an que je suis ses aventures, mois après mois. Lui dire au revoir va me faire un petit pincement au cœur, c’est certain.
Ce tome 11 est plus calme. Après la tempête du 9 et du 10, Mia peut enfin jouir du fruit de tous ses efforts, et Thanksgiving tombe à pic, puisque pour elle et sa sœur, il s’agit du tout premier qu’elles fêtent comme il se doit. Cette fois-ci, Mia est entourée comme jamais. Elle est aimée, protégée. Il est évident qu’elle ne sera plus jamais seule.
Je n’ai pas pu m’empêcher de me sentir émue durant certaines scènes. Audrey Carlan remue pas mal de choses, elle tire sur la corde sensible du lecteur et nous met la petite larmiche à l’œil. Novembre est placé sous le signe de l’affection et des sentiments. Même les scènes de sexe sont correctement amenées, sans être envahissantes.
En résumé, Audrey Carlan remonte le niveau grâce à cet avant-dernier tome plein d’émotions et de positivité. La fin approche, on retrouve des personnages rencontrés tout au long de l’année, on s’émeut avec Mia qui n’a jamais été aussi bien entourée. On commence déjà à entrapercevoir ce que son avenir lui réserve, et j’espère voir encore beaucoup de mignonitude et d’optimisme dans l’ultime opus. Vivement Décembre !
Ma chronique : https://april-the-seven.weebly.com/contemporaine/calendar-girl-audrey-carlan
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