Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
L'un des pères de l'égyptologie.
Considéré, avec Jean-François Champollion, comme l'un des pères de l'égyptologie, Auguste Mariette est à l'origine de la première grande découverte archéologique en Egypte lorsque, en 1852, il exhume des sables de Saqqarah l'antique Sérapeum, la nécropole des taureaux sacrés Apis. Véritable célébrité à son époque, il demeure néanmoins relativement méconnu du grand public aujourd'hui, car sa découverte ne suscita pas l'engouement médiatique que connut par la suite Howard Carter lorsqu'il découvrit la tombe de l'enfant-roi Toutânkhamon et dont les ouvrages modernes se font l'écho.
Chargé de mission au Caire par le musée du Louvre. Alors qu'il partage son temps entre son métier de professeur et son travail de journaliste, Auguste Mariette découvre l'Egypte à travers les manuscrits et dessins d'un cousin éloigné, collaborateur de Jean-François Champollion. C'est une révélation et il sait désormais qu'il est fait pour l'égyptologie. Avec obstination, il obtient un poste temporaire au Louvre puis une mission en Egypte.
Le musée le charge d'acquérir quelques manuscrits coptes et reçoit en retour des milliers de pièces inestimables provenant du légendaire Sérapeum qu'archéologues professionnels et amateurs recherchaient depuis plus d'un siècle. Homme à multiples talents, Auguste Mariette fut également l'auteur d'une oeuvre qui passa à la postérité : Aida de Verdi, dont il rédigea entièrement le scénario.
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