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Le présent volume collectif se divise en trois parties progressives. La première partie, « Réversibilités », permettra de voir comment l'écriture littéraire parvient à opérer simultanément une chose et son contraire.
La deuxième partie, « Et toujours l'impossible à dire! », s'ouvre sous le signe de Georges Bataille, à qui deux articles sont consacrés. L'érotisme est aussi cet « impossible à raconter ». L'érotisme semble ainsi un point commun à l'impossible chez Bataille et à l'impossible chez Gracq. À moins qu'il ne s'agisse de la guerre: chez Edmond Jabès, l'impossible à dire renvoie au traumatisme de la Shoah. C'est aussi le cas chez Paul Celan, dont l'oeuvre, implique aussi une problématisation de l'impossibilité de la traduction.
La Troisième Partie, « Dans l'impasse, et après... », considèrera l'attitude consistant à s'installer dans l'impasse, et à envisager paradoxalement un au-delà de l'impasse. Cette fin du volume a pour centre de gravité la littérature contemporaine.
Michel Deguy clot ce volume, et revendique une logique du et-et, le paradoxe étant non pas ce qu'il faut résoudre mais ce dont il faut ne pas sortir - et qui peut ainsi être fructueusement et indéfiniment approfondi.
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