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Bouqe

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Avis sur cet auteur (2)

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    Couverture du livre « Anatomie d'un commissariat : Un journaliste au plus près de la police à Roubaix » de Bouqe et Mikael Corre aux éditions Bayard Graphic

    bulle.noire sur Anatomie d'un commissariat : Un journaliste au plus près de la police à Roubaix de Bouqe - Mikael Corre

    Mikael Corre est journaliste, reporter à La Croix. Il a demandé au service d'information et de communication de la police nationale d'avoir accès à un commissariat pendant un an. C'est à Roubaix qu'il va suivre les policiers locaux, donnant à voir leur quotidien, nous dévoilant les contrôles,...
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    Mikael Corre est journaliste, reporter à La Croix. Il a demandé au service d'information et de communication de la police nationale d'avoir accès à un commissariat pendant un an. C'est à Roubaix qu'il va suivre les policiers locaux, donnant à voir leur quotidien, nous dévoilant les contrôles, les autopsies, les auditions, les interventions..

    L'objectif est de montrer la police telle qu'elle est. Dans cet album, Mikael Corre est nos oreilles et nos yeux. Il écoute, questionne, observe. On y découvre certains dysfonctionnements, un évident manque de moyens... Sans jamais porter de jugement, sans parti-pris, le documentaire dessiné, dans lequel Mickael se met lui-même en scène, se révèle être une immersion intéressante.

    Après deux autres albums documentaires avec Romain Dutter (Symphonie carcérale et Good-bye Ceausescu chez Steinkis), Bouqé impose un noir et blanc semi-réaliste qui convient bien à ce récit. Plutôt rond et doux, il met à distance la violence sociale, la misère et la difficulté de la mission des policiers qu'il représente avec humanité et simplicité.

    Cette bande dessinée d'"observation du réel" ne manque pas d'intérêt même si on a l'impression de rester un peu en surface. Le texte final de Mikael Corre apporte davantage de profondeur et d'analyse. Il a le mérite de nourrir la réflexion sur un sujet dont on n'a pas fini de débattre.

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    Couverture du livre « Goodbye Ceausescu » de Bouqe et Romain Dutter aux éditions Steinkis

    Romain Ambrosini sur Goodbye Ceausescu de Bouqe - Romain Dutter

    En '89, j'avais 14 ans. On était à quelques jours de Noël, et le mur de Berlin venait tout juste de tomber.
    Des événements marquants à l'adolescence. Comme l'impression de vivre l'Histoire en temps réel...

    Et puis, finalement, la Roumanie reste uniquement un pays de souvenirs et d'images...
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    En '89, j'avais 14 ans. On était à quelques jours de Noël, et le mur de Berlin venait tout juste de tomber.
    Des événements marquants à l'adolescence. Comme l'impression de vivre l'Histoire en temps réel...

    Et puis, finalement, la Roumanie reste uniquement un pays de souvenirs et d'images d'Épinal. Infoutu de dire ce qui s'y passe dans les années qui suivent !
    C'est vraiment cet aspect qui m'a plu dans ce road trip en pays Transylvanien, 30 ans plus tard, comment les roumains se sont reconstruits après Ceausescu. Le regard nostalgique d'une période pourtant peu enviable.
    Et la détestation des Roms, par défaut, sans connaître.

    Toute ressemblance avec des personnes ou des situations ayant existé ne saurait être que fortuite...

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