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Plongez dans la mémoire vivante de cette grande aventure qu'était la Nouvelle-France à travers un grand dossier, des rubriques thématiques (patrimoine, entretiens, littérature) et des chroniques d'actualité.
Si l'esclavage d'origine africaine existe bien dès les premières années de la Nouvelle-France il apparait dans la toute jeune colonie en 1629 avec Olivier Le Jeune, un enfant de six ans au service de David Kirke , la majorité des esclaves sont des Autochtones issus de diverses nations et rapidement désignés sous le terme de « Panis ». La plupart sont capturés pendant les guerres et vendus entre nations autochtones ou à des marchands européens qui les introduisent dans la vallée du Saint-Laurent. Leurs enfants naissent avec le statut d'esclave et sont très recherchés pour diverses raisons par les colons. Bien que réclamés fréquemment à la Cour par les autorités coloniales, ce n'est qu'à la fin du XVIIe siècle que les esclaves africains arrivent au Canada. Auparavant, ils étaient amenés en contrebande des colonies britanniques voisines ou lors d'un voyage dans les Antilles françaises ou en Louisiane.
Ce dossier ne prétend pas aborder exhaustivement ce sujet hautement complexe et sensible, mais plutôt revisiter certains aspects grâce aux travaux menés par Dominique Deslandres et ses étudiantes.
La Revue d'histoire de la Nouvelle-France est là pour vous surprendre et vous faire partager des révélations qui, sans cesse, renouvellent notre vision du passé de l'Amérique française.
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