J Gourvennec, nait dyslexique en 1955. Dès sa plus tendre enfance, tout texte à lire est incompréhensible; Faut dire, qu'à cette époque, cet handicap est mal connu. L'auteur de ce recueil, à ce stade de vie pense alors être le seul, l'unique, l'idiot. Et le meilleur copain d'un radiateur? un incapable d'obtenir le moindre diplôme. En 1975 il obtient celui de plombier. Dans ses moments de solitude, il peint des tableaux sans valeur, ses camisoles d'inutiles. Il a tout essayé, Proust, Céline, même Descartes, ceci afin de forer le destin. Et puis il fallait bien qu'un jour on les redistribue, ces foutues cartes de la vie. JG est aujourd'hui professeur en génie climatique dans un lycée. En 1999, il fait une rencontre, celle de quelques textes écrits par un certain Léo Ferré. Ce vieux Léo, cette compilation faite de rage et de tendresse, qui lui donna l'envie d'oublier l'huile des peintures et de ne plus se consacrer qu'à l'écriture, avec cette impression parfois, d'une sonorité propre à Ferré.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !
