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De Varsovie à Stalingrad jusqu'aux environs de Caen, à l'époque du débarquement du 6 juin 1944, Aloïs Hiedler, jeune officier de liaison allemand, est l'innocente victime d'une fatalité qui s'attache à ses pas avec la même venimeuse insistance que celle des membres de la Gestapo. Tout accident de parcours, toute rencontre fortuite engendre une cascade de dangereuses mésaventures dont il réchappe, le plus souvent grâce à de mystérieuses interventions.
Aloïs Hiedler se heurte à l'antisémitisme, aux pratiques sanguinaires d'un régime démoniaque. Seul rayon de lumière dans cet univers désaxé : l'amour d'Aloïs pour la jolie Veronika. Le roman est solidement ancré dans l'histoire de la Seconde Guerre mondiale. Il apporte sur celle-ci des documents issus des archives militaires allemandes. L'auteur est né à Fribourg (Pays de Bade), de père français et de mère allemande, d'où son intérêt pour le monde germanique, son histoire, en particulier l'anéantissement du Troisième Reich.
Dans Passeport pour le néant, il s'efforce de recréer l'atmosphère de son premier roman Le Chariot de foin, publié aux éditions Siloë (Nantes).
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