"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
À l'issue de la première guerre mondiale, l'Italie avait bien reçu un certain nombre de territoires, mais on lui avait refusé la Dalmatie et le port de Fiume que les alliés avaient donné à la Yougoslavie. Les habitants de Fiume, en majorité Italiens, demandèrent leur rattachement à leur pays d'origine. Le 12 septembre 1919, Gabriele d'Annunzio, un aventurier, héros de guerre, poète, dadaïste, prend la ville à la tête d'une colonne d'anciens soldats, d'anciens arditi, de déserteurs avec l'idée de l'offrir à l'Italie. Face au refus de ce pays, d'Annunzio déclare Fiume, république indépendante.
À la fin du premier tome de Par les chemins noirs, on avait laissé Lauriano le secrétaire du secrétaire de Gabriele d'Annunzio et écrivain à ses heures perdues, et la belle chanteuse Mina Linda faisant l'amour sous les toits, alors que dans les rues de Fiume, tout ce que la ville compte d'hommes costauds se lançait une fois encore dans une bagarre générale.
Le tome 2 enchaîne au petit matin suivant. Lauriano encore sous le charme de sa nuit, fait connaissance d'un marchand de journaux du temps passé, d'avant la guerre de 1914, quand la vie semblait belle.
Mais le bonheur est de courte durée. Lauriano se lance à la poursuite d'un fantôme, Leone. Des fascistes tentent alors de l'assassiner.
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