"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Durant des décennies, l'Amérique latine a été le théâtre de bien des mouvements révolutionnaires n'ayant rien à envier aux coups d'États militaires. Indépendants depuis à peine deux siècles, les Sud-Américains cherchent la stabilité politique de ce grand continent. Du plus petit pays au plus gigantesque, ce ne fut que meurtres, spoliations et prises de pouvoir, et comme si la nature elle-même voulait se mêler à ce cahot, elle fit trembler le sol ou verser des déluges dévastateurs.
Dans ce contexte, tout est bon pour affirmer sa suprématie ou faire entendre sa voix.
Profitant du passage du saint Père Jean-Paul II à Quito, en Équateur, un groupe d'extrémistes projette son assassinat. Tous les moyens sont employés pour atteindre l'objectif, mais le grain de sable, sous la forme du hasard matérialisé par Max Visa, le chargé de mission de l'UNESCO, va-t-il faire gripper la machine infernale oe
C'est cette troublante histoire qu'Erwan Palais relate dans son roman, L'homme qui n'en savait pas assez.
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