Alice a quatorze ans quand elle est hospitalisée : un premier roman foudroyant
Introduit par un hommage adressé à Aimé Césaire, Les roses de la conscience ; recueillent aussi bien nos valeurs morales positives que nos journées habituelles pour mieux éveiller à regarder chaque jour au miroir nos erreurs, nos faiblesses et limites afin de bien se reconstituer. Cette manière qu'a l'auteur d'apaiser notre labeur se manifeste surtout dans son écriture parfois satirique ancrée dans une harmonie aqueuse sans altération des rimes et du rythme qu'il donne à savourer à travers différentes thématiques. Si la pensée positive résout l'âme face à ses différends ; Les roses de la conscience, éveillent l'homme en l'éloignant de toute forme d'immoralité rétrograde qui l'enverrait au bout d'un gouffre. Comme l'auteur symboliserait un fort attachement différé à l'endroit de Mawout Mirène Suzie ; alors restez en éveil et parer vos choix, arbitrer votre destin. À la fin, ce recueil n'est en réalité qu'un cri emphatique à la solidarité et à la fraternité universelle ; sans distinction du moindre signe pouvant retarder l'épanouissement de l'humanité.
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