Romans policiers et thrillers, français ou étrangers : du suspense pour vos vacances !
La nouvelle pépite du cosy mystery dénichée par La Bête noire : Les Folles enquêtes de Magritte et Georgette !
Une série d'enquêtes inédites menées par le peintre René Magritte et sa femme, Georgette.
C'était au temps où Bruxelles bruxellait...
À l'arrêt du tram, le célèbre peintre René Magritte, chapeau boule, costume sombre et pipe au bec, a une vision étrange : une jeune femme en robe fleurie, debout à côté de son corps ! Il en parle à Georgette, son épouse, et immortalise la scène dans un tableau. Quelques jours plus tard, cette femme est retrouvée assassinée, avec une lettre d'amour parfumée dans son sac et un bouquet de lilas sous sa robe.
" J'ai beaucoup d'admiration pour l'ensemble de l'oeuvre de Nadine Monfils. Elle est complètement déjantée et j'aime les gens qui ont un grain de folie. " Michel Bussi
Romans policiers et thrillers, français ou étrangers : du suspense pour vos vacances !
Un récit vif, original qui ose transformer Magritte le célèbre peintre en détective privé. Aider par sa femme Georgette ils vont tirer sur la pelote jusqu'à découvrir le mystérieux meurtrier de deux jeunes et jolies femmes et plus encore... Humour et expressions belges une fois. Autour d'une bonne bière entre copains oû à la rencontre de Jacques Brel vous serez au cœur de l'intrigue jusqu'à la toute fin.
Une lecture bien sympathique qui avait un petit goût de "meurtre à l'anglaise façon Bruxelloise".
Oui, dit comme ça on n'y comprend pas grand chose...
Notre maître de cérémonie, détective sur le retour qui vit sa passion des intrigues en menant une véritable enquête, n'est autre que le grand peintre Magritte et son épouse, la bien futée et malicieuse, Georgette.
C'est une intrigue tout en finesse, et parfois en longueur quand on s'attarde sur la vie du couple et leurs amis, qui nous permet de comprendre comment et pourquoi deux femmes ont été assassinées.
Si parfois je me suis senti ralenti, le déroulé n'est pas poussif non plus, c'est avec un certain plaisir quand même que l'on avance vers le fin mot de l'histoire.
Quand je disais que c'est une intrigue anglaise avec un goût bruxellois c'est qu'on y retrouve les éléments clés du genre tout en progressant, en flânant et en rencontrant cette belle ville et ces habitants.
Du plus humble au plus célèbre comme le très grand Jacques Brel.
La conclusion était intéressant même si d'une certaine façon je voyais arriver les ennuis rencontré par le téméraire Magritte.
Nadine Monfils, autrice belge que je lis pour la première fois, réussit, dans Les Folles enquêtes de Magritte et Georgette, Nom d’une pipe !, à redonner vie au grand peintre et à lui faire côtoyer l’immense Jacques Brel.
Tout au long de ma lecture, j’ai savouré quantité d’expressions et de mots qui m’ont bien mis dans l’ambiance, au cœur de Bruxelles. L’homme au chapeau boule, René Magritte, et Georgette, son épouse, adorent enquêter, aller plus loin que le classement sans suite dont se satisfait trop vite la police. Jefke, leur ami, commissaire de police, apprécie particulièrement leur aide.
Magritte a écrit des romans policiers sous pseudo, Georgette s’attache aux moindres détails souvent très révélateurs et voilà qu’une femme, Madeleine Dutilleul, est retrouvée poignardée après avoir tenté de rencontrer un amant bien mystérieux lui donnant rendez-vous par lettre.
Puis c’est au tour de Rosa de recevoir le même genre de lettre avant que se produise le même scénario macabre. René Magritte qui adore les énigmes, le mystère, est servi !
Au fil de l’enquête de René et Georgette où l’humour est constamment présent, j’ai adoré apprendre quantité de détails authentiques sur la vie du célèbre peintre qui avait quinze ans de plus que son épouse. Nadine Monfils parle de ses tableaux, de ses habitudes, des réactions de ses contemporains.
Après Madeleine et Rosa, voici Mathilde, une orpheline qui travaille chez un brocanteur. Avec ces prénoms, c’est Jacques Brel qui s’impose car Mathilde est obnubilée par cet immense artiste. Un retour en arrière, quelques mois plus tôt, permet de mieux faire connaissance avec cette Mathilde qui avait été confiée à une religieuse, sœur Louise, devenue Maria Martin. Cette femme, au lieu de donner de l’amour aux orphelines qui lui étaient confiées, leur infligeait des sévices.
Peu à peu, René, avec Georgette, son « p’tit bibi », son « petit poulet », réussit à élucider tous ces mystères.
Nom d’une pipe ! Les Folles enquêtes de Magritte et Georgette, est un roman policier hors normes, très original. J’ai souri très souvent malgré le contexte tragique de l’histoire car Nadine Monfils réussit parfaitement à créer une ambiance, une atmosphère unique, certes désuète mais ô combien savoureuse !
Chronique illustrée à retrouver sur : https://notre-jardin-des-livres.over-blog.com/
René Magritte, célèbre peintre belge, à parfois des visions qu’il s’empresse de peindre. Cette fois, il voit une jeune femme en robe fleurie. Son épouse Georgette se montre très jalouse de cette toile.
Quelques jours plus tard, le corps sans vie, assassinée, de la jeune femme qu’a peint René est retrouvé.
René, aidé de Georgette, décide de mener l’enquête. Quel duo de choc ! Ils sont pétillants, drôles. On adore ce couple dès les premières pages !
L’auteur par son écriture nous plonge dans le roman comme si nous étions avec nos acolytes au milieu de leur enquête pleine de suspense.
Pour ajouter encore plus de plaisir à notre lecture, l’auteur nous fait découvrir la vie intime d’une peintre belge célèbre, on rentre facilement dans l’intimité du couple et de leur mode de vie.
L’auteur m’a fait rire, avec des réparties, des scènes loufoques, moi qui n’avais jamais lu aucun roman de Nadine Monfils et bien, je suis très agréablement surprise. Un roman parfait, drôle ou les scènes de crime sont décrient de telle façon que l’on n’est même pas choquée ! L’auteur a un talent de compteuse inouïe.
Une superbe découverte, je vais rapidement lire le deuxième tome !
Quand j’ai commencé à lire le premier épisode des Folles enquêtes de Magritte et Georgette, j’étais loin de me douter de l’aventure que Nadine Monfils allait me faire vivre.
Avec Nom d’une pipe !, titre évoquant l’une des œuvres majeures, du moins la plus connue, du peintre René Magritte, l’auteure belge nous fait vivre une enquête palpitante, à la recherche de celui ou celle qui a commis un double meurtre, celui de deux jeunes femmes Madeleine, puis peu de temps après, Rosa.
Tout débute lorsque le célèbre peintre René Magritte, chapeau boule et costume foncé, en allant retrouver ses copains, la fameuse bande des surréalistes, pour une partie d’échecs et quelques bières bien mousseuses, a une vision étrange : une jeune femme aux longs cheveux blonds, avec une robe à fleurs attendant le tram, debout à côté de son corps. Après en avoir causé à ses amis, pour le moins assez dubitatifs, il en parle à son épouse Georgette puis l’immortalise dans un tableau.
Quelques jours plus tard, un gros titre dans le journal lui apprend qu’une jeune femme a été retrouvée poignardée. Sous l’article, se trouve la photo de la femme qu’il avait dessinée avec sa robe à fleurs.
Il y voit comme un signe : « Cette affaire était comme le point de départ d’une nouvelle mission. En dehors de la peinture, il allait désormais mener des enquêtes ». Sa femme Georgette le secondera et saura parfaitement l’orienter dans ses recherches, aidé également par son pote Joseph, dit Jefke qui travaille à l’Amigo, le commissariat près de la Grand-Place de Bruxelles.
C’est une super idée que d’avoir fait mener cette enquête par deux personnes réelles, dont Magritte le célèbre peintre, dans une fiction !
C’est un thriller palpitant par l’intrigue dans laquelle sont faites de nombreuses références à l’œuvre de l’artiste, mais c’est aussi tellement plus que cela.
C’est dans l’intimité du foyer Magritte que Nadine Monfils nous fait pénétrer, auprès de ce couple qui vit une belle histoire d’amour avec une complicité de chaque instant, partagée tout de même avec Jackie, surnommée Loulou que René sort chaque matin, « pour faire pipisse ». En nous racontant son enfance, sa rencontre avec Georgette, leur vie quotidienne, simple, elle nous le rend ainsi très proche, presque un ami, et nous donne accès à son univers pictural, ses manies, ses rituels, lui donnant la parole pour expliquer comment peuvent naître ses peintures. L’une, Le Brasier est particulièrement bien analysée et de surplus, incorporée à l’enquête.
Si le portrait de René Magritte est remarquable, il est un autre Belge qui est largement évoqué dans cette enquête, et pour cause, il en est l’une des clefs, c’est le Grand Jacques, Jacques Brel !
L’un des grands moments du bouquin est justement la rencontre entre ces deux immenses talents, à la terrasse du Métropole, l’endroit le plus prestigieux de Bruxelles, même si, à la connaissance de l’écrivaine, cette rencontre n’a pas eu lieu, mais aurait pu ...
Et comment parler de Magritte, de Brel, de Bruxelles, sans faire référence à la Belgique et à tout ce qui en fait sa saveur, à savoir ses bières, ses chocolats, son parler et son art de vivre, la magie et le quotidien des lieux, Nadine Monfils l’a fait de manière très brillante.
De nombreuses anecdotes émaillent le roman. Est fait entre-autre allusion à l’église baroque Saint-Loup à Namur qui avait vu chuter Baudelaire. Il est même fait référence à L’auberge rouge de Peyrebeille, cette accueillante auberge ardéchoise dont la sanglante tenancière égorgeait ses hôtes pour les détrousser et ensuite les couper en morceaux avant de les faire disparaître dans le fourneau.
Comme vous l’aurez compris en me lisant, j’ai été happée dès les premières lignes par cette mystérieuse Madeleine qui ne tarde pas à être assassinée, départ d’un palpitant roman policier dont l’intrigue est dénouée, excusez du peu, par Magritte himself et sa femme Georgette.
Nom d’une pipe ! est un livre drôle, savoureux, instructif, original, pétillant où le suspense est maintenu de bout en bout, un livre surréaliste !
Je remercie avec chaleur, les éditions Robert Laffont (La bête noire) et Lecteurs.com qui, dans le cadre des Explorateurs du polar, m’a permis de vivre des moments intenses.
Chronique illustrée à retrouver sur : https://notre-jardin-des-livres.over-blog.com/
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