"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Si l'homme fait partie de la nature, alors rien n'est artificiel. La pollution est un produit de la nature. La destruction de la nature par l'homme est un processus naturel. Voilà le point de départ du Suicide de la Déesse, une création littéraire, sur un ton de parodie, que composent Ariane et ses quatre coéquipiers dans le cadre d'un travail scolaire. Le projet terminé, le groupe se disperse comme si plus rien ne le retenait ensemble. Les années passent; Le Suicide de la Déesse n'est plus qu'un lointain souvenir - jusqu'au jour où, ressorti de nulle part, il fait irruption avec fracas dans leur vie. Les conséquences sont dévastatrices. À soixante-quinze ans, dans un monde secoué par les attentats suicidistes et ravagé par la pollution, Ariane retrouve ses anciens coauteurs et recueille leurs témoignages. Mais d'où leur est venue cette idée? De leur propre imagination? De l'inconscient collectif? Ou d'une inspiration divine?
Le Suicide de la Déesse est un suspense de religion-fiction.
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