"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La petite histoire se tisse sur le canevas de la grande Histoire, peut-on dissocier les deux ? Voici le titre d'un roman qui sue par tous ses pores le ressenti individuel de la Grande Guerre en sondant la douleur et l'espoir des personnages qui l'ont subie : L'Armistice est signé commence alors la reconstruction du pays et des âmes meurtries. Les «petites gens» portent, dans ce roman, le fardeau qu'ont laissé les grands décideurs de ce monde. 1919, la Grande Guerre a laissé son lot de souffrances et de deuils. À Saint-Genest, sur les plateaux du Pilat, Elise, orpheline de son père et de ses trois frères, ne peut se reconstruire; elle a en charge, dans la maison des bois, sa mère Mathilde dont l'esprit s'est envolé. Pour faire bouillir la marmite, elle travaille au château. Le comte de Fontenoy, manquant de bras pour sa scierie, doit embaucher des journaliers. Jean, venu de nulle part, est l'un de ces bûcherons. Elise et Jean, tous deux victimes dans leur coeur de cette boucherie, ne tarderont pas à se reconnaître. Leur amour va provoquer une renaissance, pour eux, mais aussi pour Mathilde.
Une pure merveille! Si L'attrait de la vie sauvage égale, d'un point de vue littéraire, le scieur du Château alors je suis impatient de le lire aussi...je commande et je vous laisse un avis. Bien à vous amis lecteurs.
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