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Maud Benezit

Maud Benezit

Maud Bénézit est une autrice et illustratrice française. Pour sa première bande dessinée, "Il est où le patron ?", elle collabore avec le collectif "Les paysannes en polaire" pour raconter le quotidien de jeunes paysannes combatives et passionnées. Sa deuxième bande dessinée, parue chez Delcourt ...

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Maud Bénézit est une autrice et illustratrice française. Pour sa première bande dessinée, "Il est où le patron ?", elle collabore avec le collectif "Les paysannes en polaire" pour raconter le quotidien de jeunes paysannes combatives et passionnées. Sa deuxième bande dessinée, parue chez Delcourt en 2024, est "J'y vais mais j'ai peur", sur un scénario de la navigatrice Clarisse Crémer.

 

Photo © VOLLMER-LO.

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Avis sur cet auteur (65)

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    Couverture du livre « J'y vais mais j'ai peur : Journal d'une navigatrice » de Maud Benezit et Clarisse Cremer aux éditions Delcourt

    Dominique lGrasser sur J'y vais mais j'ai peur : Journal d'une navigatrice de Maud Benezit - Clarisse Cremer

    Avez-vous envie d'aventure, de grand large, d'embruns ? Si oui, ce livre est fait pour vous.
    Cette BD au design épuré et aux couleurs pastels nous mène sur les traces de Clarisse Crémer, skipper du Vendée Globe. Avec elle j'ai découvert tout l'univers de la voile et son vocabulaire. Clarisse...
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    Avez-vous envie d'aventure, de grand large, d'embruns ? Si oui, ce livre est fait pour vous.
    Cette BD au design épuré et aux couleurs pastels nous mène sur les traces de Clarisse Crémer, skipper du Vendée Globe. Avec elle j'ai découvert tout l'univers de la voile et son vocabulaire. Clarisse nous raconte au jour le jour ses peurs, ses joies, ses coups de blues, ses échecs et réussites.
    Avec un beau palmarès à l'arrivée, 87 jours en mer, pour boucler ce tour du monde, sans escales ni assistance.
    Grâce aux réseaux sociaux j'ai découvert que Clarisse était repartie en 2024, sous la bannière d'un autre sponsor.
    Une très belle découverte.
    Merci à la fondation Orange pour l'envoi de la BD.

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    Couverture du livre « J'y vais mais j'ai peur : Journal d'une navigatrice » de Maud Benezit et Clarisse Cremer aux éditions Delcourt

    Michel Gardin sur J'y vais mais j'ai peur : Journal d'une navigatrice de Maud Benezit - Clarisse Cremer

    J’y vais mais j’ai peur ! Journal d’une navigatrice de Clarisse Crémer et de Maud Bénézit.
    Il y a quelques jours, j’ai eu le plaisir de recevoir le livre que j’avais gagné et que j’ai le plaisir de vous chroniquer chers lecteurs du site lecteurs.com
    J’’ai toujours eu un regard admiratif pour...
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    J’y vais mais j’ai peur ! Journal d’une navigatrice de Clarisse Crémer et de Maud Bénézit.
    Il y a quelques jours, j’ai eu le plaisir de recevoir le livre que j’avais gagné et que j’ai le plaisir de vous chroniquer chers lecteurs du site lecteurs.com
    J’’ai toujours eu un regard admiratif pour tous ces navigateurs qui dans un frêle esquif traversaient les mers ou concouraient au Vendée Globe, cette course mythique véritable Everest des mers ! C’est pour cela que je me suis plongé avec un réel plaisir dans ce journal intime de Clarisse Crémer, illustré des superbes dessins de Maud Bénézit. Ouvrage, qui vient de recevoir le Prix Orange de la BD 2024. « Le bout du monde et le fond du jardin contiennent la même quantité de merveilles » dit Christian Bobin, placé sous-titre du premier dessin ou l’on voit une jeune femme en tenue de navigation goutant surement un plat lyophilisée ou appertisé, regardant un lever ou un coucher de soleil et écoutant de la musique.
    Nous découvrons Clarisse Crémer en 1999. Interrogée sur ce qu’elle voudrait faire plus tard, dit : « chépa ! énumérant les uns après les autres différents métiers, allant de boulangère pour les petits pains aux chocolats à aux regards de ses bons résultats scolaires faire une prépa ! Après avoir travaillé dans une start-up, Clarisse va faire une rencontre déterminante. Celle avec Tanguy, skipper pro en 2011, lors d’une croisière avec l’asso Rêve d’enfance. » En été 2015, Clarisse qui faisait de la voile pendant les week-ends décide de faire la mini-transat. Cela lui trottait dans la tête, depuis qu’elle avait vu l’arrivée des Ministes à La Guadeloupe. Après une première traversée de l’Atlantique 15 jours seule sur son bateau la mer agît sur elle comme une révélation et elle se projette dans une nouvelle aventure, celle du Vendée Globe. Elle y pense jour et nuit se remémorant les destins de navigateurs célèbres. Pour le Vendée Globe tous les participants sont sur des bateaux appelés IMOCA (International Monohull Open Class Association) des monocoques de 18 mètres. Le 25 janvier 2019, à Port la Forêt (Finistère Sud) elle fait ses premiers pas dans l’Equipe Banque Populaire avec pour mission de ramener son futur bateau à Lorient pour un grand chantier. Ce bateau était celui qui avait gagné le Vendée Globe en 2012. Pendant que ce bateau se prépare, Clarisse continue à apprendre sur les régates du Figaro intégrant officiellement le Team en juillet 2019. Au fur et à mesure des pages que l’on tourne l’on suit toutes les étapes de cette aventure qui se profile. En page 38-39, un superbe dessin de l’IMOCA Banque Populaire, montre tout en précisant les termes techniques, la complexité et l’armement de ce bateau. Plus loin nous sommes à trois semaines du départ aux Sables d’Olonne habituellement plus milliers de personnes sont rassemblés. Or cette année-là le Covid s’est invité. Tout le monde est confiné. Le 8 novembre 2020 c’est le départ. Les équipiers quittent les bateaux, récupérés par des semi-rigides ou en se jetant à l’eau et le top départ est donné.
    A partir de cet instant nous allons vivre avec Clarisse Crémer 24h sur 24, apprendre des termes de marin, comme le matossage, la direction des vents et la position des voiles et que le sommeil est très important bien qu’haché par toutes les manœuvres. Il faut que le bateau aille vite. Clarisse est alors à son écoute permanente, s’imprégnant de tous les bruits qu’il génère. Pour faire avancer un IMOCA beaucoup de variables entre en jeux. Je ne vais pas vous les énumérer mais vous retrouverez cela page 72. Au fur de sa traversée Clarisse nous fait part de ses états d’âmes, de ses contraintes physiques, des solutions mises en œuvre pour régler les défaillances du matériel de sa capacité à prendre seule des décisions au regard des informations qu’elle reçoit de son équipe technique à terre. On la suit dans son quotidien lors du rangement en pleine mer de son bateau, vérifiant ses stocks de nourriture, ou prenant sa douche avec une gourde d’eau de mer désalinisée dans un cockpit en permanence rincé par les vagues. Puis ce sera une rencontre avec un albatros qui plane à un ou deux mètres d’elle. Le 5 janvier 2021 Clarisse est Cap-Hornière. Le 3 février 2021 Clarisse Cremer termine sons premier tour du monde en solitaire en 87 jours 2 heures, 24 minutes et 25 secondes. «En terminant ce livre que je vous conseille de lire séance tenante, je ne pouvais que faire un parallèle avec Violette Dorange qui est actuellement en train de boucler son premier Vendée Globe sur l’ancien bateau de Jean Le Cam sous le nom de Devenir. Merci à la Fondation Orange de m’avoir permis de découvrir J’y vais mais j’ai peur, » Le journal d’une navigatrice Clarisse Crémer. Une superbe bande dessinée mais pas que, magnifiquement illustrée par Maud Bénézit. Bien à vous.

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    Couverture du livre « J'y vais mais j'ai peur : Journal d'une navigatrice » de Maud Benezit et Clarisse Cremer aux éditions Delcourt

    Rédactrice sur J'y vais mais j'ai peur : Journal d'une navigatrice de Maud Benezit - Clarisse Cremer

    Petits frissons en ce jour spécial qui marque le départ du Vendée Globe, course mythique que nous ne manquons jamais de suivre en famille.
    D'autant que nous soutenons cette année les premiers bords de la jeune Violette Dorange, benjamine de la course à seulement 23 ans et originaire de...
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    Petits frissons en ce jour spécial qui marque le départ du Vendée Globe, course mythique que nous ne manquons jamais de suivre en famille.
    D'autant que nous soutenons cette année les premiers bords de la jeune Violette Dorange, benjamine de la course à seulement 23 ans et originaire de Rochefort en Charente maritime (chez moi donc !)
    Il y a quelque temps, j'étais même sur les pontons des Sables-d'Olonne où j'ai pu admirer les Imoca et rencontrer les équipes… Mais je vais regarder ce début de course comme beaucoup à la TV.
    Nous suivrons également Clarisse Crémer qui partira cette année en même temps que son mari ! Ce n'était pas gagné, sachant que son précédent sponsor l'a lâché en cours de route à cause de la maternité (elle a évoqué le sujet sur ses réseaux).
    Pour rappel, Clarisse Crémer a bouclé son précédent tour en solitaire de 2020 en seulement 87 jours, devançant ainsi la britannique Ellen MacArthur pour terminer à la 12ème place du classement.
    Maud Bénézit met en images (et on le sent avec beaucoup de tendresse !) le parcours atypique de cette grande navigatrice, qui n'y a pas toujours cru, arrivée presque par hasard dans cette passion fulgurante pour le grand large et qui a poussé loin sa volonté pour affronter la course au grand large la plus difficile au monde !
    Abnégation, travail, doute, persévérance : ce bel album est une immersion complète et non censurée de tout ce qui passe dans la tête d'une navigatrice et compétitrice hors pair ! Une aventure captivante qui répond aussi à toutes les questions pratiques du quotidien sur un bateau ! À lire absolument !

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    Couverture du livre « J'y vais mais j'ai peur : Journal d'une navigatrice » de Maud Benezit et Clarisse Cremer aux éditions Delcourt

    RIVERA sur J'y vais mais j'ai peur : Journal d'une navigatrice de Maud Benezit - Clarisse Cremer

    Comment monter sur un bateau sans mal de mer ? Comment voyager dans les océans sans effort ? Lire cette B.D J'ai accompagné Clarisse dans tous ces moments, ses sentiments, ses gaités, ses difficultés. J'ai versé ma larme dans le canal d'arrivée. C'est une très belle aventure. Une très belle...
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    Comment monter sur un bateau sans mal de mer ? Comment voyager dans les océans sans effort ? Lire cette B.D J'ai accompagné Clarisse dans tous ces moments, ses sentiments, ses gaités, ses difficultés. J'ai versé ma larme dans le canal d'arrivée. C'est une très belle aventure. Une très belle B.D. Bon vent...

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