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Après 18 ans d'absence, Principius un peintre d'origine juive retourne en Pologne pour retrouver le fils qu'il n'a pas connu. Un contexte historique révélateur de la manière dont nos croyances, notre culture, notre identité, nos appartenances, nos choix peuvent être instrumentalisés et faire de nous soit des boucs émissaires soit des bourreaux. Printemps 1937. Le train qui conduit Principius à Breslau est toujours arrêté sur la voie par les militaires allemands. Principius est accusé d'avoir tué celui qu'il imagine être son fils, Benyamin. Le fait qu'il soit juif n'arrange pas sa situation, même si aucun cadavre n'a été trouvé. Mais dans ce train, les juifs ne sont pas les seuls "à poser problème". Deux militants pro-bolchéviques voyagent sous une fausse identité. Sans parler d'un couple d'allemands bon teint, mais dont l'identité pourrait n'être que de façade. La tension est à son comble, les haines s'affichent et les identités se dévoilent. Principius est maintenant certain que Benyamin est son fils, mais on ne refait pas la vie des gens après des années d'absence. La guerre, elle, ne demande qu'à se déclarer... Six mois après le premier volume, Johanna revient avec la dernière partie d'un diptyque consacré à la recherche identitaire, la place de l'homme avec un grand H face à la barbarie des hommes avec un petit h.
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