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« Les grands poètes écrivent comme d'un pays temporel lointain. Qui n'est guère le passé, ni un coin inconnu du présent, et pas davantage l'avenir. Ils chantent un ailleurs, un là-bas, qui égale la lyre d'Orphée ou la voix des sirènes. Ainsi de Paul Le Jéloux, dont chaque poème, chaque vers, chaque mot, même, frappe une note encore jamais entendue et qui ne résonnera plus.
Parce que les poètes inspirés comme il le fut nous adressent du plus profond d'eux-mêmes des signes d'adieu, qui nous transportent et nous poignent.
« Ce quatrième livre de Le Jéloux, après L'Exil de Taurus (1983), Prix de la Vocation, Le Vin d'amour (1990) et Le Sang du jour (2001), tous parus aux éditions Obsidiane, est aussi le dernier qu'il acheva. Il couvre plus d'une décennie de travail et constitue sans doute son chefd'oeuvre, faisant de lui le frère de Rimbaud, de Verlaine, de Saint John Perse ou de Pierre-Jean Jouve.
« Rarement la poésie française contemporaine aura atteint une telle profondeur, une telle sensualité, une telle richesse d'images et de sons, un lyrisme si éblouissant où le monde et l'Homme sont célébrés avec piété et audace. Chaque poème de ce magnifique recueil clame avec une foi ardente que « La vie aura l'abondance de l'été ». écrit Emmanuel Moses en 4eme de couverture du Jardin sous l'ombre.
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