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« Comme à l'automne d'une existence, moment où d'autres femmes parlent de bilan. De crise. Moi ?! Une libération ! Un cycle. Un souffle. Comme le premier. Qui reste à écrire. C'est grisant. Une page blanche qui ne doit pas le rester. Qui ne peut le rester. Qui ne va pas le rester. Indéniablement. Viscéralement. Inexorablement. » Cet écrit est un témoignage authentique. Comme un passeur. Un livre dans lequel tant de femmes se reconnaitront. Non pas une plainte. Et qui se souviendra d'Adèle Aenele ?! Et toutes les autres ?! Ces anonymes ?! Aux premières heures du confinement, propice à l'introspection et à l'écriture, le lecteur suit au fil des époques, « de mes jeunesses » tous les moments heureux aussi de l'adulte qui refait le chemin de la petite fille à l'enfance profanée. Cette femme, fragile en apparence, a su conduire sa vie et libère sa vérité après tant d'errances et d'années à chercher. A se chercher... A se cacher. « En cette période de chaos, je me sens en osmose avec le monde. C'est une bombe à retardement. La mienne va t'exploser à la gueule !... »
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