"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
«"L'amour, Malaussène, je vous propose l'amour !" L'amour ? J'ai Julie, j'ai Louna, j'ai Thérèse, j'ai Clara, Verdun, le Petit et Jérémy. J'ai Julius et j'ai Belleville... "Entendons-nous bien, mon petit, je ne vous propose pas la botte ; c'est l'amour avec un grand A que je vous offre : tout l'amour du monde !" Aussi incroyable que cela puisse paraître, j'ai accepté. J'ai eu tort.» Transformé en objet d'adoration universelle par la reine Zabo, éditeur de génie, Benjamin Malaussène va payer au prix fort toutes les passions déchaînées par la parution d'un best-seller dont il est censé être l'auteur. Vol de manuscrit, vengeance, passion de l'écriture, frénésie des lecteurs, ébullition éditoriale, délires publicitaires, La petite marchande de prose est un feu d'artifice tiré à la gloire du roman. De tous les romans.
Le frère de famille Benjamin Malaussene change de crémerie. Fini le bouc émissaire d'un grand magasin allons faire le bouc pour une maison d'édition renommée . Une aubaine pour satisfaire la tribu Mallausene qui comme toujours attends la suite. Amour, argent, meurtres en série, avancée spectaculaire de la science. Des rebondissements en cascade avec ces mots propre à l'auteur qui font de ce livre un met savoureux qui pétille.
Ah!!! le retour dans la famille Malaussène! Cette fois-ci, Benjamin s'est fourré dans de sales draps, comme toujours me direz-vous...
Cela commence par une mauvaise nouvelle pour lui: sa soeur chérie, sa soeur préférée, sa Clara est tombée amoureuse et a décidé de se marier ... avec un homme de quarante ans de plus qu'elle, directeur de taule de son état. Et à partir de là, tout part en cacahuète (je ne développerai pas pour éviter de révéler certaines choses).
Je souhaite juste ajouter que c'est la troisième incursion dans cette famille foldingue et qu'on y replonge avec délice. On l'apprécie de plus en plus et on s'attache encore davantage aux personnages et à la plume de Pennac.
C'est mon préféré de la trilogie (mais comme je dis ça à chaque fois...)
C'est pour moi un classique!
Mélangez les Wilt de Tom Sharpe et une pincée de Françoise Dorin, ajoutez une exquise plume, enjouée, sautillante et élaborée, pleine de jeux de mots et de parenthèses où l’auteur se glisse. Vous aurez cette petite marchande de Pennac. S’agissant de l’intrigue, je n’ai rien vu venir, ça me semble tout à fait « inanticipable », un peu comme dans La conjuration des imbéciles ou Le seigneur des porcheries.
Mention spéciale aux néologismes (du type « quinpsycaillerie ») et aux aphorismes (« c’est toujours à la première personne du singulier qu’on meurt pour de bon »). Carton jaune quand même à l’illustration enfantine et pour tout dire ratée de l’édition Folio 1992. Le titre du livre n’a pas non plus ma faveur.
Un troisième tome plein de suspens…
J’avais acheté ce livre dans une brocante et j’avais oublié qu’il y avait à l’intérieur un petit mot d’une femme qui a offert ce livre à son mari avec un autocollant de papillon. Du coup, ça m’a fait plaisir au moment de l’ouvrir.
La question du jour, à laquelle il est difficile de réponde: comment parler de ce livre sans en dire trop?
Voilà notre bouc-émissaire embrigadé dans une nouvelle histoire, sa sœur se retrouve veuve le jour de ses noces avant d’avoir pu dire « oui » à l’amour de sa vie et enceinte bien sûr, femme de la famille MALAUSSENE oblige…
La reine Zabo (patronne de Benjamin) lui propose d’endosser le rôle d’un auteur célèbre au visage inconnu mais, qui fait gagner beaucoup d’argent aux Éditions du Tallion car il est énormément publié.
Premier bémol à cette nouvelle aventure: la première grosse dispute avec Julie, qui conduit à ce qu’on pourrait appeler de nos jours « un break ».
Mais, chut! Je n’en dirai pas plus pour ne pas tout dévoiler…
C'est avec grand plaisir que j'ai retrouvé l'univers fantaisiste et décalé de Pennac !
Une jolie écriture pleine de poésie.
J'adore toute la série des Malaussène ! Des personnages haut en couleur et ultra attachants. Drôle, émouvant et remplie de poésie, une grosse bouffée d'air pur et d'optimisme sur la nature humaine. Une saga à lire impérativement.
C'est toujours un énorme plaisir de retrouver la tribu Malaussene sous la plume "dansante" de Daniel Pennac
Que du bonheur
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