"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dans une petite ville de Californie, un jeune militant s'apprête à vivre pour la première fois l'épreuve de la violence : comment va-t-il résister à la peur et à la souffrance ? En bavardant avec un rémouleur ambulant, une femme dans la force de l'âge, mariée à un fermier sans imagination, ressent un soudain désir de vivre, de voir du pays, de s'évader ; un instant, un même sentiment érotique de la terre la relie au voyageur ; mais l'évasion dont elle a rêvé se transformera en une sortie banale à Salinas, la ville voisine... Treize nouvelles, dont le célèbre «Poney rouge». Mais un seul livre, dont l'unité est l'amour de Steinbeck pour la grande vallée californienne de Salinas. La vallée où se passent les choses les plus ordinaires du monde - les plus grandes -, le pays où vivent les gens les plus simples, les plus mystérieux des hommes.
Recueil de nouvelles qui se situent dans la vallée de Salinas. Les personnes et les histoires sont très variées, de milieux, âges ou conditions divers. Chaque fois fois, l'auteur nous met l'eau à la bouche et on a envie que cela continue. Cela ressemble plutôt à des débuts de romans. Je suis restée sur ma faim et je préfère les romans de cet auteur.
Recueil de nouvelles qui se situent dans la vallée de Salinas. Les personnes et les histoires sont très variées, de milieux, âges ou conditions divers. Chaque fois fois, l'auteur nous met l'eau à la bouche et on a envie que cela continue. Cela ressemble plutôt à des débuts de romans. Je suis restée sur ma faim et je préfère les romans de cet auteur.
Le recueil de nouvelles parfait.
15 et pas une à jeter.
En quelques pages, le décor est planté, les personnages dessinés.
Steinbeck brille par sa plume intime et universelle, d'une acuité psychologique incroyable, toujours capable d’une analyse juste et profonde de l’âme humaine.
Il s’attarde sur les plus modestes et livre de très beaux portraits tout en subtilité, empreints de l’humanité que j’apprécie tellement chez cet auteur.
On retrouve dans ces nouvelles des petites choses qui immédiatement rappellent les autres romans de l’écrivain (Ici, le Doc de Rue de la Sardine. Ici, une scène qui semble sortie tout droit des Raisins de la colère. Ici , les revendications sociales trame de fond de Des Souris et des Hommes).
Chaque histoire mériterait à elle seule une chronique complète tant chacune porte en elle les germes d’un grand roman.
Traduit par Marcel Duhamel et Max Morise
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