L'année 2011 aura été une année des "élections". En Afrique, tout le monde s'entend sur le principe : "Il faut l'élection comme mode de désignation des personnes dépositaires du pouvoir public". Mais, quelles életions? En tout cas, le vocabulaire politique africain revendique le concept!Il faut maintenant lui donner son contenu et tout son poids dans la réalité des faits. On doit s'interroger et s'engager à l'instar de ces jeunes congolais qu'on voyait silloner -gratuitement -les centres, le soir des élections munis d'un bout de papier pour prélever les noms des élus après le dépouillement "in situ"! C'est un devoir pour les filles et les fils de l'Afrique de continuer l'éducation aux valeurs de la Démocratie désirée. Nous devons réflechir sur la participation politique du citoyen, sur la coexistence, l'engagement réél de tous et de chacun pour un vivre ensemble heureux, etc. La pensée politique de Hannah Arendt pourrait, esperons-nous,nous offrir quelques idées utiles.Tel était le sujet de ce mémoire de philosophie que nous publions comme un essai.
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