"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Les cuisiniers, comme n'importe qui, sont sensibles aux kilos de trop. Paul Bocuse a tout essayé... en vain. Et puis, il a trouvé, sans renier aucun des plaisirs de la table, le moyen de perdre vingt-six kilos. Sorti de l'enfer de la diététique, des glucides et des lipides, il a simplement réappris la plus agréable des libertés : manger. Cette expérience bénéfique lui a aussi permis de faire un retour en arrière et de s'abandonner à la nostalgie. Dans La bonne chère, il évoque le moulin de Collonges qui date de 1634, la tradition des «Bocuse aubergistes», et parle de son père, de ses années de formation. Il se rappelle ses premières émotions gastronomiques, de la tête de veau au lapin chasseur. Après avoir fêté le trentième anniversaire de ses trois étoiles, il accomplit ici un retour aux sources, célébrant avec émotion les joies infinies du bien manger.
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