"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Où va-t-on ? Telle est la grande question que se posent Marguerite et Mirabelle. Voici trente ans que ces deux jambes portent A., jeune cadre pressée d'en faire toujours plus. Mais plus de quoi ? Travail, enfants, amour ? Marguerite et Mirabelle débattent de leur grande affaire - le destin d'A. - en compagnie des autres parties du corps : Camille le cerveau, Babette la paire de fesses, Boris et Brice les bras.
A. chute dans un aéroport, le mari s'en va, la cacophonie guette. Au bord de la crise de nerfs, la jeune femme découvre que son corps en sait plus qu'elle et décide de l'écouter.
C’est l’histoire d’A (dont on découvrira le prénom dans la deuxième partie du roman) mais surtout celle de son corps, dont chaque membre est prénommé et prend la parole (Camille le cerveau, Marguerite et Mirabelle les jambes, Boris et Brice les bras, Babette, la partie charnue de son anatomie …)
Original me direz-vous ? Ma foi oui, c’est amusant au début, puis ça lasse un peu … Nous découvrons ainsi au fil des pages toute la vie de l’héroîne, et c’est bien sympathique … Ecouter son corps, bien sûr ! Pas trop tout de même … Je ne suis finalement pas vraiment séduite par tout ce petit monde, même si il m’est arrivé de sourire parfois !
http://leslivresdejoelle.blogspot.fr/2016/05/jupe-et-pantalon-de-julie-moulin.html
"Je me prénomme Marguerite" , ainsi commence ce livre où l'auteur donne le parole aux différentes parties du corps de A. Marguerite et Mirabelle sont les jambes, Camille le cerveau, Boris et Brice les bras et Bavette les fesses de cette jeune femme.
A. est une cadre stressée qui doit se battre pour prouver ses compétences, pour ne pas être mise sur la touche dans son entreprise car, jeune mère de famille de retour de son deuxième congé maternité, on l'imagine forcément moins performante et moins motivée.
A. est une femme qui prend tout à bras-le-corps maison, enfants, carrière, relations, elle "veut tout, le travail et les enfants, la jupe et le pantalon". Mais elle s'épuise d'autant plus que son compagnon Paul ne partage pas les tâches ménagères et s'occupe peu des enfants, il ne partage pas la responsabilité des enfants de façon générale.
A. parvient à mener une carrière brillante, à être une mère accomplie mais "elle a rendu son tablier de femme" , elle n'a plus la tête à ça...
Tiraillée entre son travail et ses jeunes enfants , A. n'écoute pas les signaux d'alerte que lui donne son corps. Le jour où la pression au travail est trop forte et où Paul la quitte, elle finit par vaciller et tombe littéralement dans tous les sens du terme, elle fait un burn-out.
La deuxième partie du livre voit A. devenir Agathe.... Elle tente de se réapproprier son corps, part marcher dans les rues avec une canne et un livre... et passe par de multiples sentiments, la culpabilité, la peur de la solitude mais elle va "prendre le temps de faire une chose après l'autre".
Le traitement de la fin de l'histoire est un point sur lequel je juge souvent les livres, ici l'auteure conclut d'une jolie façon sans aucune mièvrerie.
Insolite, déroutant au départ par le parti pris de l'auteur de faire parler les différentes parties du corps d'A. j'ai rapidement trouvé la lecture assez jouissive avec des passages hilarants en particulier quant les fesses Babette s'en mêlent pour déclencher un déhanchement provocateur par exemple...
Mais ce livre n'est pas que drôle car il traite de façon originale et décalée d'un sujet de société sérieux : la difficulté des femmes à tout mener de front, réussite professionnelle, vie de mère et vie de femme. Il donne aussi une vision réaliste de la vie d'entreprise, de l'inégalité des hommes et des femmes dans le monde du travail et montre bien les liens entre le corps et l'esprit.
L'intérêt de ce livre, aux accents autobiographiques si on se fie à l'autoportrait inséré à la fin, réside dans le traitement original du burn out et de la remise en question qui s'ensuit.
Encore une belle découverte grâce aux 68 premières fois, car sans cette opération je ne serai certainement pas allée vers cet incroyable roman.
https://cahiersvarisetplumenacre.wordpress.com/cahier-des-lectures/
Jupe et pantalon raconte la vie d’A. On commence tout simplement par sa naissance et on parcourt sa vie. J’ai apprécié ce livre pour son originalité et la variété de ses rythmes.
Dans la première partie du roman, l’auteur a choisi un point de vue très particulier. Tout est vu de l’intérieur du corps. Les jambes sont les narratrices. J’ai apprécié que le personnage se livre grâce à ce qu’il ressent à l’intérieur de son corps. Je me sentais plus près de lui (d’elle en l’occurrence). Les interactions entre différentes parties du corps (chaque jambe, chaque bras, les fesses et le cerveau) dotées chacune d’un prénom retranscrivent le fait que les manifestations du corps traduisent les ressentis de l’être humain. « Camille [le cerveau] nous envoie des ordres confus. Il nous dit autant d’avancer que de reculer. A. semble très perturbée. » (p 79)
La deuxième partie du roman abandonne ce point de vue au profit d’un narrateur externe. La vision devient moins particulière et le contenu de cette vie parait plus banal. J’avais moins l’impression de ressentir avec Agathe ses émotions.
Je viens de m’attarder sur la forme. Le fond du livre m’a intéressé par les sujets abordés.
J’ai senti la volonté de défendre une vision de la femme qui veut à la fois « la jupe et le pantalon » (p 264). Pourquoi les femmes ne peuvent-elles pas mener la même vie professionnelle que les hommes si elles le désirent ? « Etienne aussi a des enfants, ça n’entame pas sa carrière. Pourquoi est-ce que moi, je ne pourrais pas travailler ? se demande notre protagoniste page 274. L’autoportrait de Julie Moulin laisse entendre que cet auteur a envie de lutter contre les préjugés sur le rôle des hommes et des femmes dans la société.
Ensuite, le dernier chapitre m’a émue par sa manière d’évoquer la presque fin de vie de notre héroïne qui perd son autonomie.
En conclusion, une vision dynamique au début, une deuxième moitié plus classique et une fin touchante.
https://cahiersvarisetplumenacre.wordpress.com/cahier-des-lectures/
Il faut certes un peu de temps pour s’habituer à ces personnages qui n’en sont pas, à Marguerite, Boris, Babette et les autres… Mais une fois enregistré le fait que les prénoms désignent les parties du corps de A., alors on s’amuse beaucoup avec ce concept. Voici donc Marguerite et Mirabelle (les jambes), Brice et Boris (les bras), Babette (les fesses) et Camille (le cerveau) qui s’invectivent, échangent des informations, tentent de se coordonner quand il ne se livrent pas des luttes de pouvoir. Ce qui nous vaut des interpellations du genre : «Camille, je t’en supplie, passe-moi Brice et Boris.»
Mais peut-être serait-il temps d’en venir à la «propriétaire» de ce corps. A., l'héroïne de ce livre, est une trentenaire au bord de la crise de nerfs. Cadre – très – dynamique, elle est toujours pressée, veut en faire en faire encore plus : «carrière brillante, mère accomplie ! Il y a tout de même un tablier qu’elle a rendu, celui de femme.» Encore quelques symptômes physiques, des poussées dépressives et un complexe de culpabilité plus loin et A. devient Agathe.
Nous voilà arrivés à ce moment de la vie où il faut rebondir pour ne pas s’enfoncer irrémédiablement, où il faut prendre conscience que Camille ne peut tout régenter et que sans le soutien de Marguerite et Mirabelle, de Brise et Boris et même de Babette, il devient impossible d’avancer.
Julie Moulin a trouvé une manière très originale de nous faire comprendre qu’il est essentiel de prendre conscience du corps avec lequel on vit et qu’il ne faut pas oublier de dialoguer avec lui, d’écouter ce qu’il nous dit. On peut aussi y lire une critique implicite des codes qui ont cours dans nombre d’entreprises, à commencer par les plus grandes, et qui imposent aux femmes bien davantage de règles et de diktats qu’à leurs collègues masculins. Dans ce milieu, il faut être parfaite faute de n’être rien du tout.
On est cependant plus dans la fable joyeuse que dans le réquisitoire et du coup, on prend un plaisir certain à suivre Agathe. Comme on prendra, j’en suis persuadé, le même plaisir en suivant le prochain roman de Julie Moulin. Une belle plume comme ça a sûrement plus d’un tour dans son sac !
http://urlz.fr/496X
Livre surprenant!!
Dans la 1ère partie, ce sont les membres du corps d'A (dont on apprend le prénom que dans la 2ème partie) qui s'expriment: Marguerite et Mirabelle sont les jambes, Boris et Brice les bras qui expliquent comment ils ont grandis, se sont imposés face à Camille, le cerveau..
Dans la 2ème partie, Agathe s'exprime: elle court, elle court sans arret. Elle ne pense pas à elle, ne pense qu'à son travail ou ses enfants jusqu'au jour où son corps dit stop!! Et là elle va devoir par la force des choses, apprendre à écouter son corps et à se ménager et à trouver d'autres moyens de faire..;
Livre surprenant, qui se lit facilement. 1ere fois que j'entends le corps humain parler....
A découvrir
Je tiens d’abord à remercier le challenge « 68premièresfoi s » de m’avoir incité à lire ce premier roman, au titre si étrange. Et je remercie grandement également les membres de notre groupe car certain(e)s ont déclaré qu’il fallait insister au début. Je suis tout à fait d’accord car les premiers paragraphes m’ont beaucoup dérouté et si je n’avais pas eu ce conseil avisé j’aurai laissé tomber cette lecture. Je me suis donc accrochée au début pour cette lecture où l’on découvre les membres du corps de A, de sa naissance à sa vie de jeune femme, cadre dynamique mais qui va vite être atteinte de burn out dans son travail et sa vie de jeune mère. Il est tellement difficile, parfois, de concilier une vie professionnelle intense avec une vie familiale. Je ne vais pas vous abreuver des chiffres mais on sait, et surtout nous les femmes qu’il est difficile de concilier réussite professionnelle, vie familiale.. Ce roman est donc le deuxième qui aborde ce thème, même si dans « Brillante » de Stéphanie Dupays, le personnage était atteint de bore out mais ces deux premiers romans aborde de façon très différente les maux professionnels actuels. Ce qui devient passionnant dans la lecture de « jupe et pantalon », c’est que l’on se retrouve avec les ressentis des membres du corps de la femme. Les mains, les jambes, les fesses, le cerveau sont des personnages à part entière. Ils ont d’ailleurs des prénoms et s’interpellent le long des pages et vont finalement aider A dans les choix de sa vie. Bien sûr, on n’écoute pas assez son corps mais cette idée de nous parler ainsi du mal de vivre, du mal être au travail à travers une jambe gauche qui en a marre de se balader contrainte avec des talons aiguilles, de la main gauche qui aimerait elle aussi avoir des choses intéressantes à écrire et le cerveau qui quelquefois est à l’abonné absent.. Il y a donc Marguerite et Mirabelle, les jambes, Brice et Boris les bras-mains, Babette, la paire de fesses et donc Camille le cerveau qui est en haut et qui doit être supérieur, bien sûr !! Ce livre avec ce côté décalé porte une douce voix que le personnage principal écoute. Elle va réussir à s’en sortir, en laissant la voix de ses membres lui exprimer leurs joies, leurs peines. J’ai été touché par certains passages de ce livre. Qui est aussi le portrait d’une jeune femme, dans la vie actuelle. On nous abreuve de chiffres, d’études, de groupes de travail sur l’égalité hommes/femmes. Eh bien l’auteure a réussi à nous sensibiliser à ces maux avec un humour décalé qui est plaisant de lire. Merci encore à notre groupe et à ses fées. Hâte de lire des chroniques masculines sur ce livre. « L’enfant apprit à ne plus être tout mais quand même quelqu’un : en bref, elle s’adapta.. » « C’était avant le grand carrefour. Avant que l’amant devienne marin, avant que la femme soit mère, avant que l’envie se mue en rancœur et que l’insomnie détruise les rêves. » « J’ai tellement compté sur le regard des autres. J’ai cru que ma valeur se mesurait à la hauteur de leur reconnaissance. Toi, tu ne me voyais même plus. Les miroirs sont déformants. Tu as la chance de pouvoir t’exprimer dans ce que tu fais. Paul, tu vis quand tu dessines. Moi, je ne suis qu’un matériau remplaçable et qui s’use vite. Je lutte pour convaincre le monde de mon utilité. Tu puises du sens dans ton travail, je m’épuise dans le mien. Cela fait deux êtres différents. Deux chemins différents. » « Je n’avais plus le choix. C’était bien ce que j’attendais : que la vie me fasse subir son diktat. Je devrais écrire pour avancer. Je fis de mes jambes mes héroïnes. »
Je tiens d’abord à remercier le challenge « 68premièresfoi s » de m’avoir incité à lire ce premier roman, au titre si étrange. Et je remercie grandement également les membres de notre groupe car certain(e)s ont déclaré qu’il fallait insister au début. Je suis tout à fait d’accord car les premiers paragraphes m’ont beaucoup dérouté et si je n’avais pas eu ce conseil avisé j’aurai laissé tomber cette lecture. Je me suis donc accrochée au début pour cette lecture où l’on découvre les membres du corps de A, de sa naissance à sa vie de jeune femme, cadre dynamique mais qui va vite être atteinte de burn out dans son travail et sa vie de jeune mère. Il est tellement difficile, parfois, de concilier une vie professionnelle intense avec une vie familiale. Je ne vais pas vous abreuver des chiffres mais on sait, et surtout nous les femmes qu’il est difficile de concilier réussite professionnelle, vie familiale.. Ce roman est donc le deuxième qui aborde ce thème, même si dans « Brillante » de Stéphanie Dupays, le personnage était atteint de bore out mais ces deux premiers romans aborde de façon très différente les maux professionnels actuels. Ce qui devient passionnant dans la lecture de « jupe et pantalon », c’est que l’on se retrouve avec les ressentis des membres du corps de la femme. Les mains, les jambes, les fesses, le cerveau sont des personnages à part entière. Ils ont d’ailleurs des prénoms et s’interpellent le long des pages et vont finalement aider A dans les choix de sa vie. Bien sûr, on n’écoute pas assez son corps mais cette idée de nous parler ainsi du mal de vivre, du mal être au travail à travers une jambe gauche qui en a marre de se balader contrainte avec des talons aiguilles, de la main gauche qui aimerait elle aussi avoir des choses intéressantes à écrire et le cerveau qui quelquefois est à l’abonné absent.. Il y a donc Marguerite et Mirabelle, les jambes, Brice et Boris les bras-mains, Babette, la paire de fesses et donc Camille le cerveau qui est en haut et qui doit être supérieur, bien sûr !! Ce livre avec ce côté décalé porte une douce voix que le personnage principal écoute. Elle va réussir à s’en sortir, en laissant la voix de ses membres lui exprimer leurs joies, leurs peines. J’ai été touché par certains passages de ce livre. Qui est aussi le portrait d’une jeune femme, dans la vie actuelle. On nous abreuve de chiffres, d’études, de groupes de travail sur l’égalité hommes/femmes. Eh bien l’auteure a réussi à nous sensibiliser à ces maux avec un humour décalé qui est plaisant de lire. Merci encore à notre groupe et à ses fées. Hâte de lire des chroniques masculines sur ce livre. « L’enfant apprit à ne plus être tout mais quand même quelqu’un : en bref, elle s’adapta.. » « C’était avant le grand carrefour. Avant que l’amant devienne marin, avant que la femme soit mère, avant que l’envie se mue en rancœur et que l’insomnie détruise les rêves. » « J’ai tellement compté sur le regard des autres. J’ai cru que ma valeur se mesurait à la hauteur de leur reconnaissance. Toi, tu ne me voyais même plus. Les miroirs sont déformants. Tu as la chance de pouvoir t’exprimer dans ce que tu fais. Paul, tu vis quand tu dessines. Moi, je ne suis qu’un matériau remplaçable et qui s’use vite. Je lutte pour convaincre le monde de mon utilité. Tu puises du sens dans ton travail, je m’épuise dans le mien. Cela fait deux êtres différents. Deux chemins différents. » « Je n’avais plus le choix. C’était bien ce que j’attendais : que la vie me fasse subir son diktat. Je devrais écrire pour avancer. Je fis de mes jambes mes héroïnes. »
Ce roman au thème assez rebattu mais très originalement traité pourrait s'intituler le "journal d'un corps" !
Marguerite, la narratrice, nous raconte sa naissance avec Mirabelle, sa "jumelle", son inséparable (quoique...) sa plus proche et les péripéties de l'enfance. Les découvertes, les craintes, les essais, les incidents et accidents qui mènent à une autonomie très contrôlée et limitée par Camille, le chef, le guide, la tour de contrôle en quelque sorte. Babette, Brice et Boris et bien sûr Mirabelle participent de plus ou moins bonne grâce, plus ou moins adroitement, à tous ces moments émouvants, cocasses, vrais, qui emmènent A. de l'enfance à l'âge adulte. A. c'est l'Ensemble, c'est le personnage étrangement absent et complètement présent dans la première partie de ce roman atypique... et Marguerite, Mirabelle, Babette, Brice et Boris sont ses jambes, ses fesses et ses bras. Adopter le point de vue d'une jambe pour tracer le portrait d'un personnage, avouez que ça n'est pas banal ! Et ça marche (si je puis employer cette expression !) ! On l'imagine, on y croit, on s'amuse de ce ton parfois malicieux, parfois ironique, qui donne une identité à une jambe !
Mais rien ne va plus lorsque A. devient Agathe. Agathe qui s'épuise entre ses ambitions professionnelles, ses enfants et la volonté d'être parfaite partout. Agathe qui continue d'avancer malgré son corps, contre son corps, sans l'écouter, sans le dorloter, sans y prêter attention. Alors Camille, le cerveau, déconnecte tout, ne contrôle plus rien et c'est l'effondrement... Considérée comme le membre inférieur d'une société, Agathe oublie Marguerite et Mirabelle ses propres membres inférieurs.
Sous ses airs légers et frivoles, ce roman raconte plein de choses de la vie d'une femme aujourd'hui, de cette nécessité de rester debout toujours, quitte à imposer à son corps des combats qui l'épuisent et qui anéantissent l'expression des émotions et des sensations. Alerte et nuancée, l'écriture court, ralentit, virevolte à l'image d'une vie d'aujourd'hui. Il y a bien quelques longueurs, quelques considérations superflues, mais on les oublie vite pour suivre Agathe dans la reconquête de son être. Un très, très chouette premier roman !
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