A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Habiter le défaut des langues est né d'une interrogation sur la conciliation possible de deux activités, l'écriture et la pratique de l'analyse. Qui mieux que Wilfred R. Bion, psychanalyste atypique et écrivain inclassable, Simon Harel aurait-il pu interroger à ce sujet? Bion, comme tant d'autres, était hanté par le mythe de Babel, par ce rêve de pallier l'imperfection des langues en en créant une seule, parfaite, qui annulerait tout recours à la traduction, par ce rêve qui traverse l'histoire de la psychanalyse et nourrit le récit de soi. Dans cet essai polyphonique, où il donne également la parole à Melanie Klein, dont Bion fut le disciple dissipé, à Freud, qui le hante comme un fantôme bienveillant, à Beckett, dont Bion fut un temps l'analyste, Simon Harel insère des réflexions personnelles, quelques souvenirs de sa propre relation analyste/analysant et des passages plus méditatifs. L'ensemble discute de ce que veut dire aujourd'hui habiter le défaut des langues et des stratégies singulières que déploie l'écrivain, quand il est aussi psychanalyste, pour y échapper.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...