"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dis-leur de ne jamais pardonner donne la parole aux derniers survivants de cette histoire. Celle d'une guerre en zone occupée, d'un réseau de résistants infiltré, et d'une confiance donnée à tort.Aucun des acteurs de ce livre n'est sorti indemne de la violence des épreuves qu'ils ont vécues. Ils sont marqués à jamais par l'horreur d'un régime nazi. Micheline sa fille et Jacques Desbonnet son codétenu, nous retracent un quotidien au coeur de la résistance dans le regard d'un homme, d'un Français mort pour sa patrie.« A toi mon cher René ; toi mon compagnon de misère en souvenir de ce que nous avons vécu ensemble dans cette sinistrecellule 116 réservée aux condamnés à mort. Jamais je n'ai oublié tes dernières paroles « adieu Jacky » c'était le 20 août 1943 vers 6 heures du matin, tu étais assassiné quelques heures après ».Jacky, le 24 octobre 2018.Jacky est Jacques Desbonnet, son codétenu de cellule.
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